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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
24 septembre 2013

LES DEVOIRS DE LA MERE

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Il ne faut pas faire coucher vos enfants ave vous avant qu’ils aient deux ans. Si vous le faites, vous commettez un péché. Si l’Eglise a fait cette loi, ce n’est pas sans raison. Vous êtes obligés de l’observer.

« Mais, me direz-vous, parfois il fait bien froid, ou l’on est bien las. »

Tout cela, mes frères, n’est pas une raison qui puisse vous excuser aux yeux de Dieu. D’ailleurs, quand vous vous êtes mariés, vous saviez bien que vous seriez obligés de remplir les charges et les obligations qui sont attachées à cet état. Oui, mes frères, il y a des pères et des mères si peu instruits de leur religion ou si peu soucieux de leurs devoirs, qu’ils feront coucher avec eux des enfants de quinze à dix-huit ans, et même souvent des frères et des sœurs ensemble. O mon Dieu ! Dans quel état d’ignorance sont ces pauvres pères et mères !

« Mais, me direz-vous, nous n’avons point de lit. »

Vous n’avez point de lit ? Mais il vaut mieux les faire coucher sur une chaise ou chez votre voisin. O mon Dieu ! Que de parents et d’enfants damnés !

Mais je reviens à mon sujet en vous disant que toutes les fois que vous faites coucher vos enfants avec vous, avant qu’ils aient deux ans, vous offensez le bon Dieu ! Hélas ! Combien de pauvres enfants la mère trouve étouffés le matin, et combien de mères sont présentes auquel ce malheur est arrivé ! Et, quand même le bon Dieu vous en aurait préservés, vous n’êtes pas moins coupables que si, chaque fois que vos enfants ont couché avec vous, vous les aviez trouvé étouffés le matin. Vous ne voulez pas en convenir, c’est-à-dire que vous ne vous en corrigez pas. Attendons le jugement, et vous serez forcés de reconnaître ce que vous ne voulez pas reconnaître aujourd’hui.

Il y a des mères qui ont si peu de religion, ou si vous voulez sont si ignorantes que pour montrer à une voisine la santé de leurs enfants, elles les montrent à nu. D’autres, pour les langer, les laissent longtemps découverts devant tout le monde. Eh bien, même en l’absence de toute personne, vous ne devriez pas le faire. Est-ce que vous ne devez pas respecter la présence de leurs anges gardiens ? Il en est de même lorsque vous les allaitez. Est-ce qu’une mère chrétienne doit rester les seins découverts ? Et quoi que bien couverte, ne doit-elle pas se tourner du côté où il n’y a personne ? D’autres, sous prétexte qu’elles sont nourrices, ne sont toujours qu’à moitié couvertes. Quelle abomination ! N’y-a-t-il pas même de quoi faire rougir les païens ? L’on est obligé, pour ne pas s’exposer à des regards mauvais, de fuir leur compagnie.

« Mais, me direz-vous, quoiqu’il y ait du monde, il faut bien allaiter nos enfants, et les langer quand ils pleurent ! »

Et moi je vous dirai que quand ils pleurent, vous devez faire tout ce que vous pourrez pour les apaiser, mais il vaut beaucoup mieux les laisser un peu pleurer que d’offenser le bon Dieu. Hélas ! Combien de mères sont cause de mauvais regards, de mauvaises pensées, d’attouchements déshonnêtes ! Dites-moi, sont-ce là des mères chrétiennes qui devraient être si réservées ? O mon Dieu ! A quel jugement doivent-elles s’attendre ? D’autres sont si cruelles qu’elles laissent leurs enfants en été courir toute la matinée à moitié couvert. Dites-moi, misérables, ne seriez-vous pas mieux à votre place parmi les bêtes sauvages ? Où est donc votre religion et le souci de vos devoirs ? Hélas ! Pour de la religion, vous n’en avez point. Et vos devoirs, les avez-vous déjà connus ? Vous en donnez la preuve chaque jour. Ah ! Pauvres enfants, que vous êtes malheureux d’appartenir à de tels parents !

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