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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA

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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
6 février 2016

LITANIES DE SAINT YVES,AVOCAT DES PAUVRES

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Seigneur, ayez pitié de nous, Seigneur, ayez pitié de nous

O Christ, ayez pitié de nous, O Christ, ayez pitié de nous

Seigneur, ayez pitié de nous, Seigneur, ayez pitié de nous

Jésus-Christ, écoutez-nous, Jésus-Christ, écoutez-nous

Jésus-Christ, exaucez-nous, Jésus-Christ, exaucez-nous

Père céleste qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

Fils, Rédempteur du monde qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

Esprit Saint qui êtes Dieu, ayez pitié de nous

Sainte Trinité qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous

Sainte Marie, Reine de tous les Saints, priez pour nous

 

Saint Yves, priez pour nous

Saint Yves, père des pauvres, priez pour nous

Saint Yves, homme admirable, priez pour nous

Saint Yves, prêtre et ministre du Christ, priez pour nous

Saint Yves, modèle des prêtres, priez pour nous

Saint Yves, très vigilant pasteur, priez pour nous

Saint Yves, juge très équitable, priez pour nous

Saint Yves, extincteur des procès, priez pour nous

Saint Yves, arbitre des plaideurs, priez pour nous

Saint Yves, adonné à l’étude du droit, priez pour nous

Saint Yves, lumière de la Bretagne, priez pour nous

Saint Yves, homme séraphique, priez pour nous

Saint Yves, fournaise de charité, priez pour nous

Saint Yves, exemple d’humilité, priez pour nous

Saint Yves, la gloire des confesseurs, priez pour nous

Saint Yves, homme d’une foi très sûre, priez pour nous

Saint Yves, infatigable dans la prière, priez pour nous

Saint Yves, client très vénérable de la Vierge Mère de Dieu, priez pour nous

Saint Yves, contemplateur des mystères de la Passion de Notre Seigneur, priez pour nous

Saint Yves, amateur de la Croix, priez pour nous

Saint Yves, amateur de la pénitence, priez pour nous

Saint Yves, miroir de chasteté, priez pour nous

Saint Yves, ennemi de l’impureté, priez pour nous

Saint Yves, miroir de perfection, priez pour nous

Saint Yves, l’exemple de toutes les vertus, priez pour nous

Saint Yves, victorieux de toutes les tentations, priez pour nous

Saint Yves, victorieux du monde, priez pour nous

Saint Yves, homme digne d’honneur, priez pour nous

Saint Yves, homme d’une réputation sans tâche, priez pour nous

Saint Yves, homme plein de douceur, priez pour nous

Saint Yves, très cher aux gens de votre maison, priez pour nous

Saint Yves, très obéissant à vos supérieurs, priez pour nous

Saint Yves, défenseurs des innocents, priez pour nous

Saint Yves, protecteur des vierges, priez pour nous

Saint Yves, avocat et tuteur des veuves et des orphelins, priez pour nous

Saint Yves, homme de miracles, priez pour nous

Saint Yves, terreur des démons, priez pour nous

Saint Yves, qui éclairez les aveugles, priez pour nous

Saint Yves, qui faites parler les muets, priez pour nous

Saint Yves, qui guérissez les infirmes, priez pour nous

Saint Yves, qui ressuscitez les morts, priez pour nous

Saint Yves, le salut des marins en danger, priez pour nous

Saint Yves, consolateur des affligés, priez pour nous

Saint Yves, qui rassasiez ceux qui ont faim, priez pour nous

Saint Yves, le refuge de tous les malheureux, priez pour nous

Saint Yves, secours de tous ceux qui vous invoquent, priez pour nous

Saint Yves, notre très doux défenseur, priez pour nous

 

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur

Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, Jésus-Christ, écoutez-nous

Jésus-Christ, écoutez-nous

Jésus-Christ, exaucez-nous

V. Heureux celui qui secourt l’indulgent et le pauvre

R. Le Seigneur le délivrera au jour de l’affliction

 

ANTIENNE :

 

Saint Yves a enseigné à tous les chrétiens la règle de la charité, en distribuant, au nom du Christ, à tous les malheureux indigents, tout ce qu’il avait de bien à donner, et gardant seulement pour lui la voie de la pauvreté.

Saint Yves, priez pour nous afin que nous soyons rendus dignes des promesses du Christ.

O Dieu, qui avez donné saint Yves, votre confesseur, pour père aux pauvres, pour avocat aux veuves, pour tuteur aux orphelins, accordez-nous, par son intercession, la grâce d’être enflammés d’une charité semblable, et de préférer aux biens temporels qui passent promptement, la perle précieuse de l’éternité. Nous vous le demandons par Jésus-Christ Notre Seigneur. Ainsi soit-il.

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3 février 2016

SAINT YVES, PRETRE, JUGE ET AVOCAT

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Yves Hélory de Kermartin (1253 - 1303) est l'avocat des humbles et des opprimés. Dès le début de sa vie universitaire à Paris et Orléans, tout le pécule dont le gratifient ses parents sera mis au service des étudiants moins fortunés que lui. Nommé juge ecclésiastique à Rennes en 1280, il bouleverse le Diocèse par son souci de la justice et de la vérité ; les revenus de sa charge passent entre les mains des pauvres. Réclamé par l'évêque de Tréguier (son diocèse d'origine), Yves est ordonné prêtre et nommé curé de paroisse, tout en conservant ses fonctions de juge diocésain. Il est le plus mal loti des pauvres, à qui il donne tout, même son lit. Il se fait l'avocat des petits et de ceux qui ne peuvent payer un procès et s'en va plaider jusqu'à Tours.

À sa mort, le 19 mai 1303, il connaît le même dénuement et la même soif que Saint François d'Assise. « Mon fils, vivez toujours de manière à être un saint », lui avait souvent répété sa mère au temps de sa jeunesse.

En 1347, le Pape Clément VI proclame sa canonisation.

Saint Yves est le Saint Patron de toutes les professions de justice et de droit et également le Saint Patron de la Bretagne.

3 février 2016

PUISSANTE NEUVAINE A SAINT YVES, AVOCAT DES PAUVRES

 

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Bon et si pieux Saint Yves, voici devant vous une âme désemparée, qui, ayant besoin d’aide, a recours à vous avec la douce espérance d’être exaucée (préciser son intention de prière). À cause de mon indignité et de mes manquements passés, je n’ose point espérer que mes prières arrivent à forcer le cœur de Dieu, et c’est pour cela que je sens le besoin d’un médiateur qui a son écoute; aussi, c’est vous que j’ai choisi Saint Yves car votre vie exemplaire, votre abnégation, votre altruisme et votre foi immense forcent le respect et font de vous le parfait intercesseur à ma cause.

Cher Saint Yves, vous qui avez tant aimé vos contemporains au point d’offrir tous vos biens aux pauvres et de défendre au tribunal les cas réputés indéfendables, prenez à cœur ma cause, je vous en prie, acceptez d’intervenir auprès de Dieu pour obtenir la grâce qu’ardemment je désire. Si en moi quelque chose empêche que j’obtienne cette grâce, aidez-moi à me débarrasser de cet obstacle. Couvrez ma prière de vos précieux mérites et présentez-la au Christ en union à la vôtre. Ainsi purifiée par vous, serviteur dévoué parmi les plus dévoués, vous qui, tant de fois, par vos magnifiques plaidoiries et votre admirable charité envers les pauvres, avez ainsi répondu aux souhaits de sainteté du Seigneur, comment pourrait-Il la rejeter ? Ou ne pas l’exaucer ?

Mon espoir est donc en vous, et par votre intermédiaire, j’attends le cœur battant l’accomplissement de mon souhait. O cher Saint Yves, que la confiance et l’espoir mis en vous  ne soient pas déçus, faites que ma requête ne demeure pas vaine, obtenez pour moi de Dieu ce que je demande, alors je ferai connaître à tous la bonté du Seigneur et l’efficacité de votre intercession.

O Bon Seigneur Jésus-Christ au Cœur si compatissant, vous qui vous êtes montré toujours si sensible aux plus petites misères de l’humanité, laissez-vous émouvoir, et, sans regarder ma faiblesse ni mon indignité, daignez m’accorder cette grâce qui me tient tant à cœur, et que vous demande pour moi votre fidèle serviteur, Saint Yves. Pour la fidélité avec laquelle Saint Yves a toujours répondu à la Divine Grâce, pour tous ces dons dont vous avez voulu combler son âme, pour tout ce qu’il a enduré en sa vie de serviteur dévoué aux plus démunis, et, enfin, pour l’extraordinaire pouvoir d’intercession et de guérison et les nombreux miracles par lesquels vous avez voulu récompenser sa fidélité, concédez-moi, je vous en supplie, cette grâce à laquelle je tiens tant. Amen.

O Vierge Marie, notre bonne Mère du Ciel, Co-Rédemptrice du monde, Dépositaire des Divins Trésors et Dispensatrice de toutes les Grâces, appuyez, je Vous en prie humblement, de Votre puissante intercession, celle de Votre grand dévot Saint Yves, pour m’obtenir de Dieu et de Votre Fils la grâce désirée. Amen.

9 janvier 2016

PRIERE POUR LA PROTECTION DES MAISONS

Marie

Très Sainte Vierge Marie,

Conçue sans péché,

Je vous choisis aujourd’hui,

Pour Dame et Maîtresse de cette maison

Et je vous prie, par votre Immaculée Conception,

De vouloir bien la préserver : 

De la peste, du feu, de l’eau, de la foudre,

Des voleurs, des impies, des bombardements,

Des dangers de la guerre, des tremblements de terre. 

Bénissez et protégez

Les personnes qui y sont, qui y demeurent

Et faites leur la grâce d’éviter le péché

Et autres malheurs et accidents. 

O Marie conçue sans péché,

Priez pour nous qui avons recours à vous. 

Amen. 

 

Les maisons où cette prière a été exposée devant une image de la Sainte Vierge pendant les guerres de Vendée ont été préservées

(Tours, le 14 mai 1944.)

10 mars 2015

Du 10 au 18/03/2015

Neuvaine à Saint Joseph

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O glorieux Saint Joseph, notre très aimé protecteur, étendez avec amour, sur nous et sur tous ceux qui nous sont chers, votre paternelle protection. Etendez-là, nous vous en conjurons, sur cette maison, vous dont la puissance sur le Cœur de Jésus sait rendre possible les choses impossibles. Pourvoyez à nos urgents besoins. Ouvrez vos yeux de père sur les intérêts spirituels et matériels de vos enfants ; venez nous en aide dans nos craintes, dans nos angoisses, dans nos égarements, dans nos douleurs, dans nos maladies.

Eloignez de nous les périls qui nous menacent ; secourez nous dans nos difficultés ; prenez sous votre protection nos corps et nos biens, comme aussi les affaires importantes et difficiles que nous vous recommandons. Montrez enfin comme vous êtes bons pour ceux qui vous invoquent et qui veulent vous rester toujours fidèles.

O Saint Joseph, obtenez-nous une vie pure, une vertu sans tâche.

O Saint Joseph, avocat des causes difficiles et désespérées, intercédez pour nous.

Saint Joseph, protecteur des mourants, par votre trépas entre Jésus et Marie, priez pour nous maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il.

Pater – Ave – Gloria 

A faire 9 fois par jour pendant 9 jours.  

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28 septembre 2014

L'ECCLESIASTE

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Une bonne réputation vaut mieux que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison de festin ; car c’est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à cœur. Mieux vaut le chagrin que le rire ; car avec un visage triste, le cœur peut être content. Le cœur des sages est dans la maison de deuil, et le cœur des insensés dans la maison de joie. Mieux vaut entendre la réprimande du sage que d’entendre le chant des insensés. Car comme le bruit des épines sous la chaudière, ainsi est le rire des insensés. C’est encore là une vanité. L’oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent le cœur.

Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hâte pas en ton esprit de t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des insensés. Ne dis pas : -d’où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux-ci ? Car ce n’est point par sagesse que tu demandes cela.

La sagesse vaut autant qu’un héritage, et même plus pour ceux qui voient le soleil. Car à l’ombre de la sagesse, on est abrité comme à l’ombre de l’argent ; mais un avantage de la science, c’est que la sagesse fait vivre ceux qui la possèdent. Regarde l’œuvre de Dieu : qui pourra redresser ce qu’il a courbé ? Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l’un comme l’autre, afin que l’homme ne découvre en rien ce qui sera après lui.

J’ai vu tout cela pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge son existence dans sa méchanceté. Ne sois pas juste à l’excès, et ne te montre pas trop sage : pourquoi te détruirais-tu ? Ne sois pas méchant à l’excès, et ne sois pas insensé : pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? Il est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne négliges point cela ; car celui qui craint Dieu échappe à toutes ces choses. La sagesse rend le sage plus fort que dix chefs qui sont dans une ville. Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pêche jamais. Ne fais donc pas attention à toutes les paroles qu’on dit, de peur que tu n’entendes ton serviteur te maudire ; car ton cœur a senti bien des fois que tu as toi-même maudit les autres.

J’ai éprouvé tout cela par la sagesse. J’ai dit : je serai sage. Et la sagesse est restée loin de moi. Ce qui est loin, ce qui est profond, profond, qui peut l’atteindre ? Je me suis appliqué dans mon cœur à connaître, à sonder, et à chercher la sagesse et la raison des choses, et à connaître la folie de la méchanceté et la stupidité de la sottise. Et j’ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le cœur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens ; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle. Voici ce que j’ai trouvé, dit l’Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison ; voici ce que mon âme cherche encore, et que je n’ai point trouvé. J’ai trouvé un homme entre mille ; mais je n’ai pas trouvé une femme entre elles toutes. Seulement, voici ce que j’ai trouvé, c’est que Dieu a fait les hommes droits ; mais ils ont cherché beaucoup de détours.

Qui est comme le sage, et qui connaît l’explication des choses ? La sagesse d’un homme fait briller son visage, et la sévérité de sa face est changée.

Je te dis : Observe les ordres du roi, et cela à cause du serment fait à Dieu. Ne te hâte pas de t’éloigner de lui, et ne persiste pas dans une chose mauvaise : car il peut faire tout ce qui lui plaît, parce que la parole du roi est puissante ; et qui lui dira : Que fais-tu ? Celui qui observe le commandement ne connaît point de chose mauvaise, et le cœur du sage connaît le temps et le jugement. Car il y a pour toute chose un temps et un jugement, quand le malheur accable l’homme. Mais il ne sait point ce qui arrivera, et qui lui dira comment cela arrivera ? L’homme n’est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n’a aucune puissance sur le jour de la mort ; il n’y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.

J’ai vu tout cela et j’ai appliqué mon cœur à tout ce qui se fait sous le soleil. Il y a un temps où l’homme domine sur l’homme pour le rendre malheureux. Alors j’ai vu des méchants recevoir la sépulture et entrer dans leur repos, et ceux qui avaient agi avec droiture  s’en aller loin du lieu saint et être oubliés dans la ville. C’est encore là une vanité. Parce qu’une sentence contre les mauvaises actions ne s’exécute pas promptement, le cœur des fils de l’homme se remplit en eux  du désir de faire le mal. Cependant, quoique le pécheur fasse cent fois le mal et qu’il y persévère longtemps, je sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu’ils ont de la crainte devant lui. Mais le bonheur n’est pas pour le méchant, et il ne prolongera point ses jours, pas plus que l’ombre, parce qu’il n’a pas de la crainte devant Dieu.

Il est une vanité qui a lieu sur la terre : c’est qu’il y a des justes auxquels il arrive selon l’œuvre des méchants, et des méchants auxquels il arrive selon l’œuvre des justes. Je dis que c’est encore là une vanité. J’ai donc loué la joie, parce qu’il n’y a de bonheur pour l’homme sous le soleil qu’à manger et à boire et à se réjouir ; c’est là ce qui doit l’accompagner au milieu de son travail pendant les jours de vie que Dieu lui donne sous le soleil.

Lorsque j’ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse et à considérer les choses qui se passent sur la terre, car les yeux de l’homme ne goûtent le sommeil ni le jour ni la nuit, j’ai vu toute l’œuvre de Dieu, j’ai vu que l’homme ne peut pas trouver ce qui se fait sous le soleil ; il a beau se fatiguer à chercher, il ne trouve pas ; et même si le sage veut connaître, il ne peut pas trouver.

Oui, j’ai appliqué mon cœur à tout cela, j’ai fait de tout cela l’objet de mon examen, et j’ai vu que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu, et l’amour aussi bien que la haine ; les hommes ne savent rien : tout est devant eux. Tout arrive également à tous : même sort pour le juste et pour le méchant, pour celui qui est bon et pur et pour celui qui est impur, pour celui qui sacrifie et pour celui qui ne sacrifie pas ; il en est du bon comme du pécheur, de celui qui jure comme de celui qui craint de jurer. Ceci est un mal parmi tout ce qui se fait sous le soleil, c’est qu’il y a pour tous un même sort ; aussi le cœur des fils de l’homme est plein de méchanceté, et la folie est dans leur cœur pendant leur vie ; après quoi, ils vont chez les morts. Car, qui est excepté ? Pour tous ceux qui vivent, il y a de l’espérance ; et même un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort. Les vivants, en effet, savent qu’ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n’y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n’auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil.

Va, mange avec joie ton pain, et bois gaiment ton vin ; car dès longtemps Dieu prend plaisir à ce que tu fais. Qu’en tout temps, tes vêtements soient blancs, et que l’huile ne manque point sur ta tête. Jouis de la vie avec la femme que tu aimes, pendant tous les jours de ta vie de vanité, que Dieu t’a donnés sous le soleil, pendant tous les jours de ta vanité ; car c’est ta part dans la vie, au milieu de ton travail que tu fais sous le soleil. Tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le ; car il n’y a ni œuvre, ni pensée, ni science, ni sagesse, dans le séjour des morts, où tu vas.

J’ai encore vu sous le soleil que la course n’est point aux agiles ni la guerre aux vaillants, ni le pain aux sages, ni la richesse aux intelligents, ni la faveur aux savants ; car tout dépend pour eux du temps et des circonstances. L’homme ne connaît pas non plus son heure, pareil aux poissons qui sont pris au filet fatal, et aux oiseaux qui sont pris au piège ; comme eux, les fils de l’homme sont enlacés au temps du malheur, lorsqu’il tombe sur eux tout à coup.

J’ai aussi vu sous le soleil ce trait d’une sagesse qui m’a paru grande. Il y avait une petite ville, avec peu d’hommes dans son sein ; un roi puissant marcha sur elle, l’investit, et éleva contre elle de grands forts. Il s’y trouvait un homme pauvre et sage, qui sauva la ville par sa sagesse. Et personne ne s’est souvenu de cet homme pauvre.

Et j’ai dit : la sagesse vaut mieux que la force. Cependant la sagesse du pauvre est méprisée, et ses paroles ne sont pas écoutées. Les paroles des sages tranquillement écoutées valent mieux que les cris de celui qui domine parmi les insensés. La sagesse vaut mieux que les instruments de guerre ; mais un seul pécheur détruit beaucoup de bien.

28 septembre 2014

L'ECCLESIASTE

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Prends garde à ton pied, lorsque tu entres dans la maison de Dieu, et approche-toi pour écouter, plutôt que pour offrir le sacrifice des insensés ; car ils ne savent pas qu’ils font mal.

Ne te presse pas d’ouvrir la bouche, et que ton cœur ne se hâte pas d’exprimer une parole devant Dieu ; car Dieu est au Ciel, et toi sur la terre : que tes paroles soient donc peu nombreuses. Car, si les songes naissent de la multitude des occupations, la voix de l’insensé se fait entendre dans la multitude des paroles.

Lorsque tu as fait un vœu à Dieu, ne tarde pas à l’accomplir, car il n’aime pas les insensés : accomplis le vœu que tu as fait. Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir. Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis pas en présence de l’envoyé que c’est une inadvertance. Pourquoi Dieu s’irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l’ouvrage de tes mains ? Car, s’il y a des vanités dans la multitude des songes, il y en a aussi dans beaucoup de paroles ; c’est pourquoi, crains Dieu.

Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t’en étonne point ; car un homme élevé est placé sous la surveillance d’un autre plus élevé, et au-dessus d’eux, il en est de plus élevés encore. Un avantage pour le pays à tous égards, c’est un roi honoré du pays.

Celui qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses n’en profite pas. C’est encore là une vanité. Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu’il le voit de ses yeux ? Le sommeil du travailleur est doux, qu’il ait peu ou beaucoup à manger ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir.

Il est un mal grave que j’ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. Ces richesses se perdent par quelque évènement fâcheux ; il a engendré un fils, et il ne reste rien entre ses mains. Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s’en retourne nu ainsi qu’il était venu, et pour son travail il n’emporte rien qu’il puisse prendre dans sa main. C’est encore là un mal grave. Il s’en va comme il était venu ; et quel avantage lui revient-il d’avoir travaillé pour du vent ? De plus, toute sa vie, il mange dans les ténèbres, et il a beaucoup de chagrin, de maux et d’irritation.

Voici ce que j’ai vu : c’est pour l’homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu’il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés ; car c’est là sa part. Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s’il l’a rendu maître d’en manger, d’en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c’est là un don de Dieu. Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son cœur.

Il est un mal que j’ai vu sous le soleil, et qui est fréquent parmi les hommes. Il y a tel homme à qui Dieu a donné des richesses, des biens, et de la gloire, et qui ne manque pour son âme de rien de ce qu’il désire, mais que Dieu ne laisse pas maître d’en jouir, car c’est un étranger qui en jouira. C’est là une vanité et un mal grave. Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d’années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s’est point rassasiée de bonheur, et si de plus, il n’a point de sépulture, je dis qu’un avorton est plus heureux que lui. Car il est venu en vain, il s’en va dans les ténèbres, et son nom reste couvert de ténèbres ; il n’a point vu, il n’a point connu le soleil ; il a plus de repos que cet homme. Et quand celui-ci vivrait deux fois mille ans, sans jouir du bonheur, tout ne va-t-il pas dans un même lieu ?

Tout le travail de l’homme est pour sa bouche, et cependant ses désirs ne sont jamais satisfaits. Car quel avantage le sage a-t-il sur l’insensé ? Quel avantage a le malheureux qui sait se conduire en présence des vivants ? Ce que les yeux voient est préférable à l’agitation des désirs : c’est encore là une vanité et la poursuite du vent. Ce qui existe a déjà été appelé par son nom ; et l’on sait que celui qui est homme ne peut contester avec un plus fort que lui. S’il y a beaucoup de choses, il y a beaucoup de vanités : quel avantage en revient-il à l’homme ? Car qui sait ce qui est bon pour l’homme dans la vie pendant le nombre des jours de sa vie de vanité, qu’il passe comme une ombre ? Et qui peut dire à l’homme ce qui sera après lui sous le soleil ?

28 septembre 2014

L'ECCLESIASTE 1. Ec. 8. 5-8. 15-17. Es. 28. 23-29. Ps. 33. 8-11.

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Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux : un temps pour naître et un temps pour mourir ; un temps pour planter et un temps pour arracher ce qui a été planté ; un temps pour tuer et un temps pour guérir ; un temps pour abattre et un temps pour bâtir ; un temps pour pleurer et un temps pour rire ; un temps pour se lamenter et un temps pour danser ; un temps pour lancer des pierres et un temps pour ramasser des pierres ; un temps pour embrasser et un temps pour s’éloigner des embrassements ; un temps pour chercher, et un temps pour perdre ; un temps pour garder, et un temps pour jeter ; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; un temps pour se taire, et un temps pour parler ; un temps pour aimer, et un temps pour haïr ; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix.

Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de sa peine ? J’ai vu à quelle occupation Dieu soumet les fils de l’homme. Il fait toute chose belle en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l’éternité, bien que l’homme ne puisse pas saisir l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin. J’ai reconnu qu’il n’y a de bonheur pour eux qu’à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie ; mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c’est là un don de Dieu. J’ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu’il n’y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu’on le craigne. Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé.

J’ai encore vu sous le soleil qu’au lieu établi pour juger il y a de la méchanceté, et qu’au lieu établi pour la justice, il y a de la méchanceté. J’ai dit en mon cœur : Dieu jugera le juste et le méchant ; car il y a là un temps pour toute chose et pour toute œuvre. J’ai dit en mon cœur, au sujet des fils de l’homme, que Dieu les éprouverait, et qu’eux-mêmes verraient qu’ils ne sont que des bêtes. Car le sort des fils de l’homme et celui de la bête est pour eux un même sort ; comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l’homme sur la bête est nulle ; car tout est vanité. Tout va dans un même lieu ; tout a été fait de la poussière, et tout retourne à la poussière. Qui sait si le souffle des fils de l’homme monte en haut, et si le souffle de la bête descend en bas dans la terre. Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux pour l’homme que de se réjouir de ses œuvres : c’est là sa part. Car qui le fera jouir de ce qui sera après lui ?

J’ai considéré ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil ; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et personne qui les console ! Ils sont en butte à la violence de leurs oppresseurs, et personne qui les console ! Et j’ai trouvé les morts qui sont déjà morts plus heureux que les vivants qui sont encore vivants, et plus heureux que les uns et les autres celui qui n’a point encore existé et qui n’a pas vu les mauvaises actions qui se commettent sous le soleil.

J’ai vu que tout travail et toute habileté dans le travail n’est que jalousie de l’homme à l’égard de son prochain. C’est encore là une vanité et la poursuite du vent.

L’insensé se croise les mains, et mange sa propre chair. Mieux vaut une main pleine avec repos, que les deux mains pleines avec travail et poursuite du vent. J’ai considéré une autre vanité sous le soleil. Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise.

Deux valent mieux qu’un, parce qu’ils retirent un bon salaire de leur travail. Car, s’ils tombent, l’un relève son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever ! De même, si deux couchent ensemble, ils auront chaud ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? Et si quelqu’un est plus fort qu’un seul, les deux peuvent lui résister ; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement.

Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu’un roi vieux et insensé qui ne sait plus écouter les avis ; car il peut sortir de prison pour régner, et même être né pauvre dans son royaume. J’ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil entourer l’enfant qui devait succéder au roi et régner à sa place. Il n’y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c’est encore là une vanité et la poursuite du vent.

30 août 2014

L’ECCLESIASTE

L’ECCLESIASTE

(Es. 40. 6-8 I Jn. 4. 13. 2 Co. 4 18.)

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Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.

Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.

Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil. Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche ; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord ; puis il tourne encore et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie ; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu’on peut dire, l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre.

Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui c’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. S’il est une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien ; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

Moi, l’Ecclésiaste, j’ai été Roi d’Israël à Jérusalem. J’ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme. J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. J’ai dit en mon cœur : Voici, j’ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de science. J’ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie ; j’ai compris que cela aussi, c’est la poursuite du vent. Car avec beaucoup de sagesse, on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.

J’ai dit en mon cœur : Allons ! je t’éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c’est encore là une vanité. J’ai dit du rire : Insensé ! et de la joie : A quoi sert-elle ? Je résolus en mon cœur de livrer ma chair au vin, tandis que mon cœur me conduirait avec sagesse, et de m’attacher à la folie jusqu’à ce que je visse ce qu’il est bon pour les fils de l’homme de faire sous les cieux pendant le nombre des jours de leur vie. J’exécutai de grands ouvrages : je me bâtis des maisons ; je me plantai des vignes ; je me fis des jardins et des vergers, et j’y plantai des arbres à fruits de toute espèce ; je me créai des étangs, pour arroser la forêt où croissaient  les arbres. J’achetai des serviteurs et des servantes, et j’eus leurs enfants nés dans la maison ; je possédai des troupeaux de bœufs et de brebis, plus que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Je m’amassai de l’argent et de l’or, et les richesses des rois et des provinces. Je me procurai des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils de l’homme, des femmes en grand nombre. Je devins grand, plus grand que tous ceux qui étaient avant moi à Jérusalem. Et même ma sagesse demeura avec moi. Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie ; car mon cœur prenait plaisir à tout mon travail, et c’est la part qui m’en est revenue. Puis j’ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j’avais prise à les exécuter ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n’y a aucun avantage à tirer de ce qu’on fait sous le soleil.

Alors j’ai tourné mes regards vers la sagesse, et vers la sottise et la folie. Car que fera l’homme qui succédera au Roi ? Ce qu’on a déjà fait. Et j’ai vu que la sagesse a de l’avantage sur la folie, comme la lumière a de l’avantage sur les ténèbres ; le sage a ses yeux à la tête, et l’insensé marche dans les ténèbres. Mais j’ai reconnu aussi qu’ils ont l’un et l’autre un même sort. Et j’ai dit en mon cœur : J’aurai le même sort que l’insensé ; pourquoi donc ai-je été plus sage ? Et j’ai dit en mon cœur que c’est encore là une vanité. Car la mémoire du sage n’est pas plus éternelle que celle de l’insensé ; pourquoi donc ai-je été plus sage ? Et j’ai dit en mon cœur que c’est encore là une vanité. Car la mémoire du sage n’est pas plus éternelle que celle de l’insensé, puisque déjà les jours qui suivent, tout est oublié. Eh quoi ! Le sage meurt aussi bien que l’insensé ! Et j’ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m’a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent. J’ai haï tout le travail que j’ai fait sous le soleil, et dont je dois laisser la jouissance à l’homme qui me succédera. Et qui sait s’il sera sage ou insensé ? Cependant, il sera maître de tout mon travail, de tout le fruit de ma sagesse sous le soleil. C’est encore là une vanité. Et j’en suis venu à livrer mon cœur au désespoir, à cause de tout le travail que j’ai fait sous le soleil. Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s’en est point occupé. C’est encore là une vanité et un grand mal. Que revient-il en effet, à l’homme de tout son travail et de la préoccupation de son cœur, objet de ses fatigues sous le soleil ? Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n’est que chagrin ; même la nuit son cœur ne repose pas. C’est encore là une vanité.

Il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. Qui, en effet, peut manger et jouir, si ce n’est moi ? Car il donne à l’homme qui lui est agréable la sagesse, la science et la joie ; mais il donne au pécheur de recueillir et d’amasser, afin de donner à celui qui est agréable à Dieu. C’est encore là une vanité et la poursuite du vent.

30 août 2014

NEUVAINE DE LA NATIVITE

NEUVAINE DE LA NATIVITE

De la Très Sainte Vierge Marie

Fête du 8 septembre

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"O Sainte Enfant si cher au cœur de Jésus, prie Jésus pour nous."

1 PATER NOSTER (1 Notre Père) +  1 AVE MARIA (1 Je vous salue Marie) + 1 GLORIA PATRI (Gloire au Père)

A dire 3 fois de suite

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