Mes enfants, je suis ici avec vous pour répandre sur vous tant de grâces, tant d’amour et tant de joie.

Je suis la Reine du Ciel, la Mère de l’univers et j’aime tant mes enfants. J’ai inspiré à tout le monde de se présenter aujourd’hui à mes pieds pour que je les comble de grâces, les comble d’un grand amour.

L’amour ! L’amour est ce que je demande de vous mes enfants. L’amour est ce qui amène au ciel, l’amour est ce qui unit les familles et toutes les nations.

Pourquoi est-ce que je vous appelle mes enfants ? Parce qu’il n’y a plus d’amour dans les nations, il n’y a plus d’amour dans les familles. Je vous appelle pour vous apporter l’amour, pour vous apporter la paix, la joie, la sérénité, la concorde : tous unis en un seul cœur d’amour, de prière, de sacrifice.

Promettez-moi mes enfants, qui aujourd’hui êtes ici. Je suis moi-même ici, au milieu de vous, à vous entourer d’amour. Je suis ici au milieu de vous pour vous combler de grâces. Je suis vivante et vraie comme vous. Je suis la Reine du Ciel et viens pour vous sauver. Ne voyez-vous pas combien le monde est en péril ?

Ne voyez-vous pas que le monde chemine dans une grande fange, dans de graves péchés, spécialement contre la pureté ? Tant de sacrilèges ! Tant de péchés ! Qu’ils n’écoutent plus ma parole de Mère et non plus celle de mon Fils Jésus.

Tous seuls, vous ne pouvez rien faire, mes enfants ! Vous, vous êtes sur cette terre, moi, je suis dans le ciel.

Jésus vous a mis sur cette terre pour vous préparer pour l’éternité et non pour penser à toutes les richesses, à tous les plaisirs.

Vous devez vous préparer, vous n’êtes pas pour la terre, vous êtes pour le ciel, pour jouir d’un bonheur éternel.

Pensez mes enfants, pensez à être plus humbles, à être plus aimants avec tous et de pardonner à tous.

Jésus a pardonné, Jésus a aimé, Jésus est tout miséricorde.
Priez votre Ange Gardien d’éclairer votre esprit d’une vive lumière, d’enflammer tout votre cœur, que vous puissiez comprendre le mal et le bien que vous faites.

Ne pensez pas trop au monde. Ne savez-vous pas qu’un jour vous devrez être jugés en toute vérité ?

Sur cette terre, vous pouvez dire tout ce que vous voulez mais devant le Roi-Juge, vous ne le pouvez. Là, c’est la vérité pure ! Et la vérité, il faut la dire avec tous et aimer tous et pardonner  à tous. Il ne faut ni orgueil, ni malice car moi, je comprends tout même quand vous œuvrez avec malice car je vous scrute l’esprit et le cœur.

Je veux que vous veniez à mes pieds pour demander pardon, pour m’aimer, pour me remercier de tant de grâces que je vous ai données.

Mes enfants, mettez en pratique mes paroles de Mère, consolez mon cœur si transpercé car les heures s’approchent si tristes.
Unissez-vous tous dans l’amour, dans la prière.

Tenez étroitement le rosaire entre vos mains et répétez-le souvent : il sera votre soutien, votre encouragement dans les épreuves.

Et soyez unis, soyez unis mes enfants ! La réunion de prière, c’est ce qui sauvera, ce qui vous défendra et ce qui vous amènera dans la gloire du Saint Paradis auprès de moi.

Quelle joie vous trouverez à cette heure où vous partirez de cette terre si vous avez fait votre devoir de père, de mère, de fils, de consacrées ou de consacrés !

Quand je viendrai vous prendre entre mes bras, vous donner le baiser de l’amour et du pardon, quelle joie vous trouverez en votre cœur !

Ecoutez-moi, écoutez-moi mes enfants car je viens sur cette terre pour vous sauver.

Je vous le répète : je viens au Nom du Père Eternel.
Si vous demandez, vous obtiendrez comme a dit Jésus. Cherchez et vous trouverez, frappez et il vous sera ouvert, demandez et vous recevrez mais vous devez demander, vous devez frapper. Par la prière et le sacrifice, vous obtiendrez tout.

Et avec ma puissance, avec vos Anges gardiens, avec les Archanges, unissez-vous en prières.

Allez aux pieds de Jésus Eucharistie : frappez, frappez jusqu’à ce que Jésus ait ouvert. Il vous ouvrira. Il écoutera vos gémissements et les grâces viendront. Tant et tant de grâces !

Moi, je répandrai tant de grâces. Au Nom de mon Fils Jésus, au Nom du Père Eternel, je vous donnerai tout si vous êtes repentis, si vous priez, si vous vous réunissez en vous aimant et en vous pardonnant.

Au Nom de la Très Sainte Trinité, je vous donne une forte bénédiction  qui vous assiste dans la vie et dans la mort et sur votre front un baiser de Mère qui vous aime tant.

Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ! Amen.

(Avec insistance) : mes enfants, accourez, accourez à mes pieds ! Venez me supplier, venez me demander les grâces, venez demander miséricorde et vous obtiendrez tout !

(Mamma Rosa décrit la vision) :

La Maman Céleste présente en ce moment au poirier, est avec tous les apôtres. Au-dessus d’elle, il y a la Très Sainte Trinité. A côté, Saint Pierre et le Padre Pio.

Et la Maman Céleste a en mains le monde avec au-dessus la Croix. Cette Croix est toute de grande lumière rouge. Les rayons sont rouges. En bas, il y a toute la jeunesse : Sainte Jeanne d’Arc, Sainte Thérèse, Maria Goretti, tous les jeunes saints et tous entourés de tous les jeunes saints.

Et la Maman Céleste a son grand manteau : grand, grand qui couvre « tutto il mondo » avec tous les Anges.

Et ce soir, dit Saint Michel, à cinq heures, la Maman revient encore au poirier. Elle va passer sur le monde pour éclairer ses enfants. Qu’ils s’unissent dans l’amour et la foi, qu’ils n’attendent pas que ce soit trop tard !

Priez, priez en cette heure. Envoyez vos Anges Gardiens donner la lumière à tous, que tous puissent se convertir, tous s’aimer et tous pardonner.

C’est moi, Saint Michel Archange, qui vous annonce cela, au Nom de la Maman Céleste.

Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ! Amen.

Oraisons approuvées le 31 mai 1862 par le Pape Pie IX, celui-ci les reconnaissant vraies et d’un grand profit pour le bien des âmes.

O Jésus Christ, douceur éternelle à ceux qui vous aiment, joie qui surpasse toute joie et tout désir, espoir et salut des pécheurs, qui avez témoigné n’avoir de plus grand contentement que d’être parmi les hommes jusqu’à prendre la nature humaine en la plénitude des temps pour l’amour d’eux, souvenez-vous des souffrances que vous avez endurées dès l’instant de votre conception et surtout dans le temps de votre Sainte Passion, ainsi qu’il avait été décrété et ordonné de toute éternité dans la pensée divine. Souvenez-vous, Seigneur, que faisant la Cène avec vos disciples, après leur avoir lavé les pieds, vous leur avez donné votre Corps sacré et votre Précieux Sang, et, tout en les consolant avec douceur, vous leur avez prédit votre prochaine Passion. Souvenez-vous de la tristesse et de l’amertume que vous avez éprouvées en votre âme, comme vous l’avez témoigné vous-même, disant : « Mon âme est triste jusqu’à la mort ».

Souvenez-vous, Seigneur, des craintes, angoisses et douleurs que vous avez endurées en votre Corps suave avant le supplice de la Croix, quand, après avoir prié trois fois en répandant une sueur de sang, vous avez été trahi par Judas, votre disciple, arrêté par la nation que vous aviez choisie et élevée, accusé par de faux témoins, injustement jugé, en la fleur de votre jeunesse et dans le temps solennel de la Pâque. Souvenez-vous que vous avez été dépouillé de vos propres vêtements et revêtu de ceux de la dérision, qu’on vous a voilé les yeux et la face, qu’on vous a donné des soufflets, que vous avez été couronné d’épines, qu’on vous a mis un roseau à la main, et qu’attaché à une colonne, vous avez été déchiré de coups et accablé d’affronts et d’outrages. En mémoire de ces peines et douleurs que vous avez endurées avant votre Passion sur la Croix, donnez-moi avant la mort une vraie contrition, une sincère et entière confession, une juste pénitence et la rémission de tous mes péchés. Ainsi soit-il.

O Jésus, vraie liberté des Anges, paradis de délices, ayez mémoire de l’horreur de tristesse que vous avez endurée lorsque vos ennemis, tels des lions furieux, vous entourèrent, et par mille injures, crachats, soufflets, griffures et autres supplices inouïs, vous tourmentèrent à l’envie. En considération de ces tourments et de ces paroles injurieuses, je vous supplie, ô mon Sauveur, de me délivrer de mes ennemis, visibles et invisibles, et de me faire arriver, sous votre protection, à la perfection du salut éternel. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Créateur du Ciel et de la Terre, que nulle chose ne peut contenir ni limiter, vous qui renfermez et tenez tout sous votre puissance, souvenez-vous de la douleur très amère que vous avez endurée lorsque les soldats, attachant vos mains sacrées et vos pieds très délicats à la Croix, les percèrent de part en part avec de gros clous émoussés et, ne vous trouvant pas dans l’état qu’ils voulaient pour contenter leur rage, agrandirent vos plaies, y ajoutèrent douleur sur douleur puis, par une cruauté inouïe, vous allongèrent alors sur la Croix et vous tirèrent de tous côtés en disloquant vos membres. Je vous conjure, par la mémoire de cette très Sainte et très aimante douleur de la Croix, de me donner crainte et amour envers vous. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Céleste médecin, élevé en Croix pour guérir nos plaies par les vôtres, souvenez-vous des langueurs et meurtrissures que vous avez souffertes en tous vos membres, dont aucun ne demeura en sa place, en sorte qu’il n’y avait douleur semblable à la vôtre. De la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête, aucune partie de votre Corps n’était sans tourment ; et cependant, oubliant vos souffrances, vous ne vous êtes point lassé de prier votre Père pour vos ennemis, lui disant : «  Père, pardonne-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font. » Par cette grande miséricorde et en mémoire de cette douleur, faites que le souvenir de votre très amère Passion opère en moi une parfaite contrition et la rémission de tous mes péchés. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Miroir de splendeur éternelle, souvenez-vous de la tristesse que vous avez eue, lorsque, contemplant dans la lumière de votre divinité la prédestination de ceux qui devaient être sauvés par les mérites de votre Sainte Passion, vous voyiez en même temps la multitude des réprouvés qui devaient être damnés par leurs péchés, et vous plaigniez amèrement ces malheureux pécheurs perdus et désespérés. Par cet abîme de compassion et de pitié, et principalement par la bonté que vous avez manifestée envers le bon larron, lui disant : « Tu seras aujourd’hui avec moi en Paradis », je vous prie, ô doux Jésus, qu’à l’heure de ma mort, vous me fassiez miséricorde. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Roi aimable et si désirable, souvenez-vous de la douleur que vous avez eue, quand, nu et comme un misérable, attaché et élevé sur la Croix, tous vos parents et vos amis vous abandonnèrent, excepté votre Mère bien-aimée qui demeura, en compagnie de Saint Jean, très fidèlement auprès de vous dans l’agonie et que vous avez recommandés l’un à l’autre en disant : « Femme, voila ton Fils ! » et à Saint Jean :  « Voila ta Mère ! » Je vous supplie, ô mon Sauveur par le glaive de douleur qui alors transperça l’âme de votre Sainte Mère, d’avoir compassion de moi en toutes mes afflictions et tribulations, tant corporelles que spirituelles, et de m’assister dans mes épreuves, surtout à l’heure de la mort. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Fontaine inépuisable de compassion qui par une profonde affection d’amour avez dit sur la Croix : « J’ai soif ! » mais de la soif du salut du genre humain, je vous prie, ô mon Sauveur, d’exalter le désir de mon cœur de tendre à la perfection dans toutes mes œuvres, et d’éteindre entièrement en moi la concupiscence charnelle et l’ardeur des appétits mondains. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Douceur des cœurs, suavité des esprits, par l’amertume du fiel et du vinaigre que vous avez goûtés sur la Croix pour l’amour de nous, accordez-moi de recevoir dignement votre Corps et votre Sang précieux pendant la vie et à l’heure de la mort, pour servir de remède et de consolation à mon âme. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Vertu royale, joie de l’esprit, souvenez-vous de la douleur que vous avez endurée, lorsque, plongé dans l’amertume à l’approche de la mort, insulté et outragé par les hommes, vous avez crié avoir été abandonné de votre Père, lui disant : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Par cette angoisse, je vous conjure, ô mon Sauveur, ne m’abandonnez pas dans les terreurs et les douleurs de la mort. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Qui êtes en toutes choses commencement et fin, vie et vertu, souvenez-vous que vous vous êtes plongé pour nous dans un abîme de douleurs, de la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête. En considération de la grandeur de vos plaies, apprenez-moi à garder vos commandements par une vraie charité, ces commandements dont la voie est large et aisée par ceux qui vous aiment. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Abîme très profond de miséricorde, je vous supplie, en mémoire de vos plaies qui ont pénétré jusqu’à la moelle de vos os et de vos entrailles, de me tirer, moi, misérable submergé par mes offenses, hors du péché, et de me cacher de votre face irritée dans les trous de vos plaies, jusqu’à ce que votre colère et votre juste indignation soient passées. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Miroir de vérité, marque d’unité, lien de charité, souvenez-vous de la multitude de plaies dont vous avez été blessé de la tête aux pieds, déchiré et tout rougi par l’effusion de votre Sang adorable ! O grande et universelle douleur que vous avez soufferte pour l’amour de nous en votre chair virginale ! Très doux Jésus, qu’auriez-vous pu faire pour nous que vous n’ayez fait ! Je vous conjure, ô mon Sauveur, de marquer de votre Précieux Sang toutes vos plaies dans mon cœur afin que j’y lise sans cesse vos douleurs et votre amour. Que par le fidèle souvenir de votre passion, le fruit de vos souffrances soit renouvelé dans mon âme, et que votre amour s’y augmente chaque jour, jusqu’à ce que je parvienne à vous qui êtes le trésor de tous les biens et de toutes les joies, que je vous supplie de me donner, ô très doux Jésus, dans la vie éternelle. Ainsi soit-il.

O Jésus ! Lion de Juda, Roi immortel et invincible, ayez mémoire de la douleur que vous avez endurée, lorsque toutes vos forces, tant du cœur que du corps, étant épuisées, vous avez incliné la tête en disant : « Tout est consommé ! » Par cette angoisse et cette douleur, je vous supplie, Seigneur Jésus, d’avoir pitié de moi en la dernière heure de ma vie, lorsque mon âme sera dans l’angoisse et que mon esprit sera troublé.

O Jésus, Fils unique du Père, Splendeur et figure de sa substance, souvenez-vous de l’humble recommandation que vous avez faite à votre Père, lui disant : « Mon Père, je remets mon esprit entre tes mains ! » Puis, votre corps déchiré, votre cœur brisé et les entrailles de votre miséricorde ouvertes pour nous racheter, vous avez expiré ! Par cette précieuse mort, je vous conjure, ô Roi des Saints, de me réconforter et de me secourir pour résister au démon, à la chair et au sang, afin qu’étant mort(e) au monde, je vive en vous seul. Recevez, je vous prie, à l’heure de ma mort, mon âme pèlerine et exilée qui retourne à vous. Ainsi soit-il.

O Jésus, vraie et féconde vigne, souvenez-vous de l’abondante effusion de San que vous avez si généreusement répandue de votre Corps sacré comme le raisin sous le pressoir. De votre côté perforé d’un coup de lance par un soldat, vous avez donné du sang et de l’eau, de telle sorte qu’il n’en est plus demeuré une seule goutte, et enfin, comme un faisceau de myrrhe élevé du haut de la Croix, votre chair délicate s’est anéantie, l’humeur de vos entrailles s’est tarie, la moelle de vos os s’est desséchée. Par cette amère Passion et par l’effusion de votre précieux Sang, je vous supplie, ô bon Jésus, de recevoir mon âme lorsque je serai à l’agonie. Ainsi soit-il.

O doux Jésus ! Blessez mon cœur afin que des larmes de pénitence, de douleur et d’amour, nuit et jour, me servent de pain ; convertissez-moi entièrement à vous ; que mon cœur vous soit une perpétuelle habitation ; que ma conduite vous soit agréable, et que la fin de ma vie vous soit tellement louable qu’après ma mort, je puisse mériter votre Paradis et vous louer à jamais avec tous vos Saints. Ainsi soit-il.

·         Demande : « faut-il les réciter tous les jours sans interruption » ?

·         Réponse : « manquer le moins possible mais si pour un motif sérieux, on les omet, on ne perd pas les privilèges qui y sont attachés, pourvu qu’on les récite 365 fois dans l’année. Il faut les dire dévotement et bien se pénétrer des paroles qu’on prononce. »

Sainte Gertrude, assure que la Très Sainte Vierge Marie a promis des grâces merveilleuses à ceux qui réciteront cette très belle prière.

« A l’heure de la mort de ceux qui m’auront récité cette prière assidûment, je viendrai et je leur apparaîtrai dans l’éclat d’une si grande beauté, que leur cœur sera merveilleusement consolé et commencera à goûter les délices des Cieux. »

O Jésus, Divin Rédempteur,

Soyez miséricordieux pour nous et pour le monde entier.

Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Eternel,

Prenez pitié de nous et du monde entier.

Grâce et miséricorde, ô mon Jésus, dans les dangers présents,

Couvrez-nous de votre Sang très précieux.

O Père Eternel, soyez-nous miséricordieux par le Sang de Jésus Christ, votre Fils unique, soyez miséricordieux pour nous et pour le monde entier.

Mon Jésus, pardon et miséricorde, par les mérites de vos Saintes Plaies et des douleurs de la Très Sainte Vierge Marie.

Père Eternel, je vous offre les Plaies de Notre Seigneur Jésus Christ pour guérir celles de nos âmes.

L’humble Sœur Marie-Marthe Chambon reçut du Seigneur ces invocations et promesses. Jésus lui révéla : « J’accorderai tout par mes Saintes Plaies. Quand vous avez à souffrir des peines, apportez-les promptement dans mes Plaies et elles seront adoucies. Il faut répéter souvent auprès des malades cette aspiration : « Mon Jésus, pardon, etc. », cette prière soulagera le corps et l’âme. Et le pécheur qui dira : « Père Eternel, je vous offre les Plaies, etc. », obtiendra sa conversion. A chaque mot que vous prononcez de la Couronne de la Miséricorde, je laisse tomber une goutte de mon Sang sur l’âme d’un pécheur. Mes Saintes Plaies sont le trésor des trésors pour les âmes du purgatoire. Par mes Saintes Plaies et par ma Mère Immaculée viendra le Triomphe de l’Eglise. »

·         Ame de Jésus Christ, sanctifie-moi.

·         Corps de Jésus Christ, sauve-moi.

·         Sang de Jésus Christ, enivre-moi.

·         Eau du côté de Jésus, purifie-moi.

·         Passion de Jésus, fortifie-moi.

·         O bon Jésus, exauce-moi.

·         Dans tes Plaies sacrées, cache-moi.

·         D’être séparé de toi, préserve-moi.

·         De l’esprit malin, défends-moi.

·         A l’heure de ma mort, appelle-moi.

·         De venir à toi, commande-moi.

·         Parmi tes Saints, admets-moi.

·         Afin que je te loue dans les siècles des siècles.

Amen.

Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au tien.

Doux Cœur de mon Jésus, fais que je t’aime de plus en plus.

Doux Cœur de Marie, sois mon salut.

Jésus, Marie, Joseph, je vous donne mon cœur, mon esprit et ma vie.

Jésus, Marie, Joseph, assistez-moi à ma dernière agonie.

Jésus, Marie, Joseph, faites que je meure paisiblement en votre sainte compagnie.

Jésus, Marie, Joseph, éclairez-moi, secourez-moi, sauvez-moi.

O Cœur de Jésus, nous voici prosternés devant toi pour t’adorer, te louer, te remercier, réparer nos fautes passées et nous consacrer à ton amour. Nous souvenant de tes magnifiques promesses, nous osons te dire avec la plus entière confiance :

Cœur de Jésus, donne-nous tous les secours nécessaires à notre état.

Cœur de Jésus, mets la paix dans nos familles, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, sois mon asile assuré pendant la vie mais surtout à l’heure de ma mort, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, répands d’abondantes bénédictions sur toutes nos entreprises, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, sois pour les pécheurs un océan de miséricorde, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, rends fervents ceux qui sont tièdes, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, fais que les fervents fassent de rapides progrès dans la perfection, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, bénis les maisons où ton image sera exposée et honorée, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, donne à ceux qui travaillent au salut des âmes, la grâce de toucher les cœurs les plus endurcis, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, grave en toi, à jamais, le nom de ceux qui propagent cette dévotion, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, donne à ceux qui communieront sans interruption neuf premiers vendredis du mois, la grâce de la pénitence finale et de la réception des sacrements, Seigneur, tu nous l’as promis.

Cœur de Jésus, règne malgré satan et les efforts de tes ennemis, Seigneur, tu nous l’as promis.

Seigneur Jésus, daigne te souvenir des promesses que, dans l’infinie miséricorde de ton divin Cœur, tu as faites par Sainte Marguerite-Marie. Sois le protecteur de notre vie, le soutien de nos faiblesses, le réparateur de toutes nos fautes, le supplément de toutes nos vertus et surtout, notre asile assuré à l’heure de mort. Amen.

Il se compose de 5 dizaines,  tel que demandé par Notre Seigneur à sainte Sœur Faustine.

On le récite sur un chapelet ordinaire.

·         Pater Noster. Ave Maria. Gloria Patri.

·         Père Eternel, je vous offre le Corps, le Sang, l’Ame et la Divinité de votre Fils Bien aimé, Notre Seigneur Jésus Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier.

·         Par sa douloureuse Passion et les douleurs de la Très Sainte Vierge Marie, ayez pitié de nous et du monde entier.

·         Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu Eternel, ayez pitié de nous et du monde entier.

En 1935, Sœur Faustine eut une vision durant laquelle elle reçut les paroles de cette prière. Le lendemain, Jésus lui confirma : « Cette prière est donnée pour calmer la Justice Divine. Tu la diras pendant neuf jours sur un chapelet. » Puis, le Seigneur promettait : « J’accorderai de très grandes grâces aux âmes qui diront ce chapelet. Inscris ces mots, ma fille, proclame au monde entier ma Miséricorde. C’est le signe des derniers temps. Il sera suivi du jour de la justice. »

Mes  chers enfants, je suis ici avec une grande troupe d’Anges et avec tant de prêtres qui ont tous en mains le chapelet et un cierge. Le Rosaire est l’arme la plus puissante pour se sauver et pour recevoir des grâces. Le cierge représente la foi qui permettra de surmonter tout obstacle à venir car les heures se font tristes. Il faut être fort dans le combat et sans respect humain. Il faut agir non avec la malice ou la superbe mais avec l’amour et le pardon, l’amour d’authentiques frères. Au lieu de cela, il y a tellement de haine dans le monde : vous ne vous aimez plus ! Mes enfants, pourquoi cela ? Parce que vous n’écoutez pas ma parole de mère, vous n’écoutez que les tentations. Il n’y a qu’ambitions, théâtre, cinéma, télévision… avec tous ces péchés qui se commettent ! Et cette mode indécente qui porte les âmes à la perdition ! Le mal, tous l’écoutent mais le bien, si peu ! J’appelle tant d’âmes à la prière, au sacrifice, à la pénitence mais peu écoutent, peu puisque sont nombreux sont ceux qui se perdent sur le chemin de la vie. C’est pour moi une grande douleur qui me transperce le cœur quand je vois tant de mes fils sur le bord du précipice.

Jésus est tout lacéré, priez spécialement pour ses apôtres qui n’accomplissent pas leur mission de pères. Priez, priez beaucoup pour mes fils de prédilection  que j’aime tellement. Je les aime tant, mes fils de prédilection mais ils n’écoutent pas ma parole de Mère, de Co Rédemptrice.

Priez beaucoup pour le Saint Père Paul 6, pour ceux qui l’entourent car entre eux, ils doivent s’aimer et se pardonner, être sans orgueil ni malice. La malice est ce qui conduit à l’enfer, à la damnation. Il faut tant d’humilité et de charité ! Ces saints prêtres qui m’entourent (ceux de la vision) prient beaucoup pour mes fils de prédilection d’ici-bas afin que tous reviennent repentis, que tous écoutent ma voix de Mère, de Reine des apôtres.

Jésus est avec vous, l’Esprit Saint vous illumine de ses sept dons si vous l’appelez. Priez beaucoup Saint Michel pour qu’à l’aide de son épée, il vous conserve la clarté de l’esprit. Quand l’esprit est clair, on comprend tout et on accomplit tout : le devoir que Jésus a confié à chacun selon son état. Priez beaucoup vos Anges gardiens afin qu’ils vous accompagnent, vous inspirent, vous procurent une intense lumière pour progresser sur le chemin de la sainteté dans la paix du cœur et avec tant d’amour fraternel et de pardon car je viens convertir les âmes et soulager mes enfants. C’est l’âme qui doit être sauvée ! Même s’il est piétiné, le corps ne compte pas mes chers enfants ! Vous devez supporter les Croix, les calomnies mais lorsque vous entrerez dans le Paradis et que vous verrez tant de splendeur d’amour, vous ne tiendrez plus compte des choses d’ici-bas parce que Jésus vous donnera le baiser de l’amour en compensation de ces pleurs et des prières que vous aurez faites. Jésus tient compte de tout et lorsque vous vous présenterez au Tribunal de Dieu, ce sera votre Ange gardien qui vous défendra. Il y aura Saint Michel et je serai présente si vous avez écouté mon invitation de Mère. Jésus est tout miséricorde mais il est aussi un Juge sévère. Jésus attend pour vous sauver tous…

Revenez mes enfants, revenez repentis. N’ayez pas de respect humain pour venir ici à mes pieds. Venez et manifestez-moi votre amour et moi je vous donnerai tout l’amour, le pardon, la paix, la force de porter la Croix à mes côtés et à ceux de Jésus. Vous ne vivrez que pour Jésus et Marie ! Ne savez-vous pas mes enfants que par vous-mêmes, vous ne pouvez rien ? Ne savez-vous pas que Jésus est plus grand que vous ? Jésus vous a donné la vie et un jour, il vous la reprendra. Pensez-y ! Ce que vous aurez fait de bien sera compté et ce qui aura été fait de mal sera perdu pour l’éternité. Réfléchissez mes enfants ! Réfléchissez pendant que le temps vous est encore accordé ! Ne voyez-vous pas comme le monde se perd et qu’il vous entraîne dans l’abîme ? Sur le point de mourir, nombreux sont ceux qui ne veulent pas se réconcilier avec mon Fils mais sa présence imposante juge le bien et le mal. Si vous voyiez tant d’âmes se perdre, c’est si douloureux !

Priez pour les agonisants afin qu’à leur ultime heure ils se repentent. Un regard de repentir suffit pour recevoir le baiser du pardon ! Priez, priez afin que tous se sauvent ! Priez avec les Anges, avec les Saints et avec les Ames du purgatoire qui peuvent tant obtenir du Père Eternel !

Frappez et il vous sera ouvert, demandez et vous recevrez ! Faites ceci mes chers enfants ! N’ayez pas cet orgueil mais soyez petits comme Jésus dans la Crèche et vous serez d’autant plus grands là-haut dans le ciel.

Je donne tant de grâces, tant de miséricorde et de pardon. Priez de tout votre cœur pour que mes enfants reviennent repentis et que ce soit un jour de joie et de chants à mes pieds. Au jour de mon triomphe, les âmes comprendront le bien et le mal.

Priez beaucoup afin que tant de mes enfants qui seront piétinés et flagellés, acceptent la mort avec résignation et amour. Priez pour qu’ils aient la force d’embrasser Jésus et de voler triomphants au ciel.

Acceptez mon invitation de Mère. Au Nom du Père Eternel, je vous donne une forte bénédiction qui vous assistera durant la vie et à l’heure de la mort pour vous réunir tous, là-haut, dans le ciel avec moi.

Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ! Amen.

Reine du Ciel et de la terre, notre Mère, vous qui venez en ce lieu pour appeler à vous tous vos enfants, pour demander nos cœurs, nous nous mettons tout entiers entre vos mains, Mère aimante, avec notre corps, notre âme et même tous nos péchés.

Puissions-nous n’offenser ni vous ni Jésus mais si, cédant à la tentation, nous vous offensions, nous vous en demandons pardon.

Donnez-nous en telle abondance votre aide et les grâces nécessaires afin que nous cheminions sur cette terre toujours sous votre manteau.

Faites que nous ne soyons pas tant préoccupés des choses matérielles et des plaisirs de la terre mais que notre unique préoccupation soit la pensée du Ciel parce que vous êtes une Mère si aimante, si pleine d’amour, de miséricorde et de pardon, qui venez en ce lieu accompagnée des trois Archanges.

Venez ! Venez en notre compagnie ! Et à l’heure de notre mort, avec votre Patriarche Saint Joseph, présentez-nous à Jésus.

Soyez notre Avocate devant le trône du Juge. Pitié ! Pitié, ô notre Mère, pour vos enfants tourmentés !

Nous vous le demandons encore, pitié et miséricorde !

Nous sommes faibles mais nous sommes vos enfants, Mère, secourez-nous !

Mère pleine de miséricorde, Mère dispensatrice des grâces, Madone des Roses, placez tous nos cœurs dans le Cœur de Jésus !

Sauvez-nous ! Sauvez-nous, par pitié !

Madone Miraculeuse des Roses, nous voulons votre triomphe.

Pour commencer le chapelet :

O Jésus, Divin Rédempteur, soyez miséricordieux pour nous et pour le monde entier. Amen.

O Dieu Saint, Dieu fort, Dieu immortel, ayez pitié de nous et du monde entier. Amen.

O Père Eternel, traitez-nous avec miséricorde par le Sang de Jésus Christ, Votre Fils unique, traitez-nous avec miséricorde, nous vous en conjurons. Amen.

A chaque dizaine, sur le gros grain :

Père Eternel, je vous offre les Plaies de notre Seigneur Jésus Christ pour guérir celles de nos âmes.

Sur le petit grain :

Mon Jésus, pardon et miséricorde par les mérites de tes Saintes Plaies.

Pour terminer le chapelet :

Père Eternel, je vous offre les plaies de Notre Seigneur Jésus Christ pour guérir celles de nos âmes X 3.

« J’eus, en portant la Croix, une Plaie profonde de trois doigts et trois os découverts sur l’épaule. Cette Plaie qui n’est pas connue des hommes, m’a occasionné plus de peine et de douleur que toutes les autres mais révèle-la aux fidèles chrétiens et sache que quelque grâce qui me sera demandée en vertu de cette plaie, leur sera accordée. Et, à tous ceux qui, par amour pour elle,  m’honoreront chaque jour par trois Pater, Ave et Gloria, je pardonnerai les péchés véniels, je ne me souviendrai plus des mortels, ils ne mourront pas de mort imprévue, à l’heure de la mort, ils seront visités par la Bienheureuse Vierge et ils obtiendront encore la grâce et la miséricorde. »

« Très aimé Seigneur Jésus Christ, très doux agneau de Dieu, moi, pauvre pécheur, j’adore et vénère la Très Sainte Plaie que vous avez reçue à l’Epaule, en portant au Calvaire la très lourde Croix qui laissa découverte trois os Saints, occasionnant une immense douleur.

Je vous supplie, en vertu des mérites de la dite Plaie, d’avoir pitié de moi en me pardonnant tous mes péchés mortels et véniels, de m’assister à l’heure de la mort et de me conduire dans votre heureux royaume. Amen. »