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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
4 juin 2011

CHAPELET DES LARMES DE SANG

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CHAPELET DES LARMES DE SANG

 

« Récitez le chapelet des Larmes de sang ! Répandez-le ! Le démon fuit là où il est récité. Par ce chapelet, vous obtiendrez la conversion des pécheurs, principalement de ceux possédés du démon. »

(Paroles de la Très Sainte Vierge Marie.)

 

Ensemble, on commence en disant :

« Jésus Crucifié, prosternés à tes pieds, nous t’offrons les Larmes de Sang de Celle qui t’a accompagné pendant ton si douloureux chemin de la Croix avec un tendre et compatissant amour.

Fais, ô bon Maître, que nous prenions à cœur les enseignements tirés des Larmes de Sang de ta Très Sainte Mère, afin qu’accomplissant ta Sainte Volonté sur la terre, nous puissions te louer et te glorifier au Ciel pendant toute l’éternité. Amen. »

A la place du PATER, dites 3 fois :

« O Jésus, regarde les Larmes de Sang de Celle qui t’a le plus aimé sur terre et qui t’aime le plus tendrement au Ciel. »

A la place des AVE MARIA, dites 7 fois :

« O Jésus, exauce nos prières à cause des Larmes de Sang de ta Très Sainte Mère. »

A la fin, dites 3 fois :

« O Jésus, regarde les Larmes de Sang de Celle qui t’a le plus aimé sur terre et qui t’aime le plus tendrement au Ciel. »

On récite sept septaines (7 fois 7).

En terminant :

« O Marie, Mère de l’Amour, des douleurs et de la miséricorde, nous te demandons d’unir tes prières aux nôtres afin que Jésus, ton Divin Fils, auquel nous nous adressons, au nom de tes maternelles Larmes de Sang, exauce nos supplications et nous accorde, avec les grâces demandées, la couronne de la Vie éternelle. Amen.

Que tes Larmes de Sang, ô Mère douloureuse, anéantissent le pouvoir de l’enfer. Amen.

Que ta divine douceur, ô Jésus crucifié, préserve le monde de la confusion et de la menace. Amen. »

 

ORIGINE DU CHAPELET DES LARMES

Ce chapelet a été révélé par Jésus et sa Très Sainte Mère à sœur Amélia, cofondatrice de l’Institut des Missionnaires de Jésus Crucifié, au Brésil.

Le Divin Sauveur révéla à sœur Amélia les invocations à dire puis ajouta :

« Ma fille, ce que les hommes me demanderont à cause des Larmes de Sang de ma Mère, je le leur accorderai affectueusement. »

Suivant la promesse de son Fils, le 8 mars 1930, la Vierge Marie remit ce chapelet à la religieuse en lui disant :

« Voici le chapelet de mes Larmes de Sang, déjà confié par mon Fils. Votre Sauveur veut que je sois particulièrement honorée par ces invocations et ainsi, il accordera volontiers toutes les grâces demandées à cause de mes Larmes. »

 

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4 juin 2011

MESSAGE DU JEUDI 5 JUIN 1969

MESSAGE DU JEUDI 5 JUIN 1969

 

Mes enfants bien-aimés, je suis ici au milieu de vous pour vous apporter paix et amour. Là où est Jésus, là est la force pour tous les cœurs. Jésus est avec vous, au-dessus de vous. Il vous donne des grâces et vous pardonne. Jésus est tout compassion !

Jésus est la sagesse même, l’obéissance même et tout amour ! Priez-le, remerciez-le, aimez-le. Frappez à la porte du cœur de Jésus et vous recevrez, avec beaucoup d’autres grâces, la plus éminente : celle du pardon. Si vous avez pardonné ici-bas, vous serez pardonné quand vous reviendrez devant lui.

Ecoutez-moi mes enfants, écoutez-moi car je viens pour vous sauver. Je suis la Reine du Ciel, la Mère de l’Univers qui vous aime tellement ! Je viens pour vous apporter la paix, l’amour, la miséricorde. Je viens pour vous aider dans les moments tristes car le monde est en train de se perdre.

Mes enfants, réveillez votre foi en la réalité du Ciel ! Tenez vos regards sur lui, c’est là qu’un jour vous devez me trouver. Je vous appelle nuit et jour ; je vous inspire parce que je vous veux sauvés ! Repentez-vous tant qu’il en est encore temps. Repentez-vous ! Car dans le monde tout passe mais dans l’éternité jamais.

Récitez souvent des credo : plusieurs fois durant le jour et aussi la nuit si vous ne dormez pas. Ces credo vous donneront la foi et vous pourrez aussi la donner aux autres car Jésus ouvre les intelligences, ouvre le cœur de mes enfants ; il les pénètre de son amour et de sa splendeur qui vous font monter avec persévérance vers le Ciel.

Et marchez, marchez, mes enfants vers la sainteté comme vous y appelle Jésus : Jésus vous attend jour après jour au banquet eucharistique !

Promettez-moi mes enfants de faire les premiers samedis du mois pendant neuf mois consécutifs. Commencez tous, parlez-en à tous : ces neuf samedis seront si riches de grâces ! Au milieu des épreuves, vous aurez la force et vous aurez mon aide. Vos Anges gardiens vous assisteront, Saint Michel vous défendra et le Père Eternel ouvrira votre esprit à une claire vue du monde.

Jésus est saint, Jésus est immortel, Jésus est fort. Vous aussi, vous ne devez pas vous laisser abattre dans les tentations : vous devez vaincre parce que l’ennemi fait tout pour vous ravir. Soyez très humbles, soyez purs et tenez-vous sous mon manteau : j’étreins tous mes enfants, les couvre tous de mon manteau et les veux sauvés !

En avant, en avant mes enfants ! Écoutez-moi ! Écoutez-moi ! car les heures sont tristes.

Priez beaucoup Jésus quand vous le recevez dans votre cœur, qu’il intercède auprès du Père Eternel.

Je suis la Reine du Ciel, je suis l’Avocate, je suis la Dispensatrice des grâces.

Priez beaucoup Jésus Eucharistie pour le Saint Père Paul 6, pour tous les consacrés : qu’ils marchent dans la voie de la sainteté.

Priez ! Priez ! Priez !

Au Nom du Père Eternel, je vous envoie une forte bénédiction. Restez toujours unis à Jésus et à Marie, votre Maman qui vous assiste dans la vie et dans la mort.

Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ! Amen.

3 juin 2011

NEUVAINE AU SAINT ESPRIT

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NEUVAINE AU SAINT ESPRIT

Saint Alphonse de Liguori.

 

PREMIER JOUR

Le don de crainte de Dieu

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous offre mon cœur et vous rends de vives actions de grâces pour tous les bienfaits que vous avez répandus et que vous répandez sans cesse dans le monde. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et de m’accorder le don de votre sainte crainte afin qu’elle me serve de frein pour ne jamais retomber dans mes fautes passées dont je demande mille fois pardon.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

DEUXIEME JOUR

Le don de piété

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous offre mon cœur et vous rends de vives actions de grâces pour tous les bienfaits que vous avez répandus et que vous répandez sans cesse dans le monde. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et votre amour et de m’accorder le don de piété afin que je puisse à l’avenir, vous servir avec plus de ferveur, suivre avec plus de promptitude vos saintes inspirations et observer plus exactement vos divins préceptes.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

TROISIEME JOUR

Le don de science

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous bénis, en m’unissant aux bénédictions que vous recevez des Anges et des Séraphins. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et votre amour et de m’accorder le don de science afin que je puisse bien connaître les choses de Dieu et qu’éclairé par vos saintes instructions, je marche sans jamais dévier, dans la voie de mon salut éternel.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

QUATRIEME JOUR

Le don de force

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et votre amour et de m’accorder le don de force afin que je puisse surmonter courageusement toutes les attaques du démon et tous les dangers du monde, qui s’opposent au salut de mon âme.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

CINQUIEME JOUR

Le don de conseil

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous bénis, en m’unissant aux bénédictions que vous recevez des Anges et des Séraphins. Je vous rends de vives actions de grâces pour tous les bienfaits que vous avez répandus et que vous répandez sans cesse dans le monde. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et votre amour et de m’accorder le don de conseil afin que je puisse bien choisir tout ce qui est le plus convenable à mon avancement spirituel et découvrir tous les pièges et toutes les ruses de l’esprit tentateur.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

SIXIEME JOUR

Le don d’intelligence

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous bénis, en m’unissant aux bénédictions que vous recevez des Anges et des Séraphins. Je vous offre tout mon cœur. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et votre amour et de m’accorder le don d’intelligence afin que je puisse bien entendre les divins mystères  et, par la contemplation des choses célestes, détacher mes pensées et mes affections de toutes les vanités de ce misérable monde.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

 

SEPTIEME JOUR

Le don de sagesse

 

Esprit Saint, Divin Consolateur ! Je vous adore comme mon vrai Dieu, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous rends de vives actions de grâces pour tous les bienfaits que vous avez répandus et que vous répandez sans cesse dans le monde. Vous qui êtes l’Auteur de tous les dons surnaturels et qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la Bienheureuse Mère de Dieu et de toute consolation Marie, je vous prie de me visiter par votre grâce et de m’accorder le don de sagesse afin que je puisse bien diriger toutes mes actions, en les rapportant à Dieu comme à ma fin dernière, de sorte qu’en L’aimant et en Le servant comme je le dois en cette vie, j’aie le bonheur de Le posséder éternellement en l’autre.
Pater, Ave, trois Gloria.

 

HUITIEME JOUR

Humble supplication

 

Esprit Saint, Divin Paraclet, Père des pauvres, Consolateur des affligés, Lumière des cœurs, Sanctificateur des âmes, me voici prosterné en votre présence. Je vous adore avec la plus profonde soumission et je répète mille fois, avec les Séraphins qui se tiennent devant votre trône : « Saint ! Saint ! Saint ! » Je crois fermement que vous êtes éternel, procédant du Père et du Fils. J’espère que par votre bonté, vous sanctifierez et sauverez mon âme. Je vous aime, ô Dieu d’amour ! Je vous aime plus que tout. Je vous aime de toutes mes affections parce que vous êtes une bonté infinie qui mérite seule tout amour et, puisque insensible à vos saintes inspirations, j’ai eu l’ingratitude de vous offenser par tant de péchés, je vous en demande mille pardons et je regrette souverainement de vous avoir attristé, ô Amour infini.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

NEUVIEME JOUR

Offrande et invocations

 

Je vous offre mon cœur tout froid qu’il est, et je vous supplie d’y faire entrer un rayon de votre lumière et une étincelle de votre feu, pour fondre la glace si dure de ses iniquités. Vous qui avez rempli d’immenses grâces l’âme de Marie, et enflammé d’un saint zèle les cœurs des apôtres, daignez aussi embraser mon cœur. Que Marie, qui a obtenu le vin des Noces de Cana, nous obtienne le vin de l’Amour infini qui enivra d’extases les apôtres le saint jour de la Pentecôte. Que le Saint Esprit, par Marie, suscite de nouveaux apôtres, enivrés de l’amour de Jésus Christ. Vous êtes un Esprit Divin, fortifiez-moi contre les mauvais esprits. Vous êtes un feu, allumez en moi le feu de votre amour. Vous êtes une lumière, faites-moi connaître les choses éternelles. Vous êtes une Colombe, donnez-moi des mœurs pures. Vous êtes un souffle plein de douceur, dissipez les orages que soulèvent en moi mes passions. Vous êtes une langue, enseignez-moi la manière de vous louer sans cesse. Vous êtes une nuée, couvrez-moi de l’ombre de votre protection. Auteur de tous les dons célestes, ah ! Je vous en conjure, vivifiez-moi par votre grâce, sanctifiez-moi par votre charité, gouvernez-moi par votre sagesse, adoptez-moi pour votre enfant et sauvez-moi par votre infinie miséricorde afin que je ne cesse jamais de vous bénir, de vous louer et de vous aimer, d’abord sur la terre, pendant ma vie, et ensuite dans le Ciel durant toute l’éternité. Amen.

Pater, Ave, trois Gloria.

 

 

3 juin 2011

PRIERE POUR LA PROTECTION DES MAISONS

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PRIERE POUR LA PROTECTION DES MAISONS

 

 

Sainte Marie, Mère de Dieu, qui avez été conçue sans péché, je vous choisis aujourd’hui pour Dame et Maîtresse de notre maison. Je vous prie, par votre Immaculée Conception, de la préserver du feu, de l’eau, du tonnerre, de la tempête, de tremblement de terre, de maléfices et des voleurs.

Bénissez et protégez, Vierge Sainte, toutes les personnes qui y demeurent. Obtenez-leur la grâce d’éviter tout péché, hérésies, divisions, maladies, mort subite et autres malheurs et accidents.

Et le Verbe s’est fait chair et a habité parmi nous.

Loué soit à jamais le Très Saint sacrement de l’Autel.

Seigneur, j’ai mis en vous mon espérance et je ne serai pas confondu.

Béni soit le Christ Roi.

3 juin 2011

CHAPELET DU PRECIEUX SANG

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CHAPELET DU PRECIEUX SANG

Il se compose de 5 dizaines. On le récite sur un chapelet ordinaire. Avec le crucifix, on fait le signe de la Croix.

Sur les gros grains, on récite l’invocation suivante :

Sang de Jésus, soutiens ma vie.

Sang de Jésus, bénis ma mort.

Sur les petits grains, on dit :

Mon Jésus, pitié et miséricorde par les mérites de votre précieux Sang.

Après chaque dizaine :

Père Eternel, je vous offre le très précieux Sang de votre Fils bien-aimé, en expiation de mes péchés, pour les besoins de la Sainte Eglise, la conversion des pécheurs et le soulagement des âmes du Purgatoire.

A la fin, on dit :

Agneau du Calvaire, unique salut de mon âme, je t’en supplie, efface par ton précieux Sang les péchés de toute ma vie et, par les vertus de ce même Sang, préserve-moi des maux de ce monde, surtout de la mort subite et imprévue. Par les mérites de ton précieux Sang, assiste-moi à l’heure de mon agonie.

Jésus, Marie, Joseph, je vous donne mon cœur, mon esprit et ma vie.

Jésus, Marie, Joseph, assistez-moi dans ma dernière agonie.

Jésus, Marie, Joseph, faites que je meure paisiblement en votre sainte compagnie. Bénie soit la sainte et immaculée conception de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu. O Très Doux Jésus, ne soyez pas mon Juge mais mon Sauveur.

 

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3 juin 2011

AUGUSTE REINE DES CIEUX

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AUGUSTE REINE DES CIEUX

Prière indulgenciée par le pape Pie X le 8 juillet 1908. Texte authentique de la prière dictée par Notre Dame au père  Cestac, le 13 janvier 1864.

Auguste Reine des Cieux et Souveraine Maîtresse des Anges, toi qui, dès le commencement, as reçu de Dieu le pouvoir et la mission d’écraser la tête de satan, nous te le demandons humblement, envoie les légions célestes pour que sous tes ordres, elles poursuivent les démons, les combattent partout, répriment leur audace et les refoulent dans l’abîme.

Qui est comme Dieu ?

O bonne et tendre Mère, tu seras toujours notre Amour et notre Espérance.

O divine Mère, envoie les Saints Anges pour me défendre et repousser loin de moi le cruel ennemi.

Saints Anges et Archanges, défendez-nous, gardez-nous.

Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit, au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles.

Amen !

Il est recommandé de l’apprendre par cœur. Remède contre les « esprits des ténèbres » et les forces de haine et de peur.

Lors de la première impression, les presses se brisèrent par deux fois.

2 juin 2011

LES QUINZE ORAISONS DE SAINTE BRIGITTE

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PROMESSES DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST

SUR LES QUINZE ORAISONS DE SAINTE BRIGITTE

Oraisons approuvées le 31 mai 1862 par le Pape Pie IX, celui-ci les reconnaissant vraies et d’un grand profit pour le bien des âmes.

Comme il y avait fort longtemps que Sainte Brigitte désirait savoir le nombre de coups que Notre Seigneur reçut en sa Passion, un jour il lui apparut en disant :

« J’ai reçu en mon corps 5480 coups. Si vous voulez les honorer par quelque vénération, vous direz quinze Pater Noster et quinze Ave Maria avec les oraisons suivantes (qu’il lui enseigna) pendant 1 an entier. L’année étant achevée, vous aurez salué chacune des plaies. »

Notre Seigneur ajouta ensuite que quiconque dirait ces oraisons durant un an :

« Délivrera du Purgatoire quinze âmes de sa lignée, quinze justes de sa même lignée seront confirmés et conservés en état de grâce et quinze pécheurs de sa même lignée seront convertis.

La personne qui les dira aura les premiers degrés de perfection et quinze jours avant sa mort, je lui donnerai mon précieux Corps afin que par celui-ci, elle soit délivrée de la faim éternelle.

 Je lui donnerai mon précieux Sang à boire de peur qu’elle n’ait soif éternellement et, quinze jours avant sa mort, elle aura une amère contrition de tous ses péchés et une parfaite connaissance de ceux-ci.

Je mettrai le signe de ma très victorieuse Croix devant elle, pour son secours et sa défense contre les embûches de ses ennemis.

Avant sa mort, je viendrai avec ma très chère et bien-aimée Mère et recevrai bénignement son âme et la mènerai aux joies éternelles et, l’ayant menée jusque-là, je lui donnerai un singulier trait à boire de la fontaine de ma Déité, ce que je ne ferai point à d’autres ne disant pas mes oraisons.

 Celui qui dira ces oraisons est assuré d’être joint au suprême chœur des Anges et quiconque les enseignera à un autre, sa joie et son mérite ne manqueront jamais mais seront stables et dureront à perpétuité. Là où sont et seront dites ces oraisons, Dieu est présent avec sa grâce. »

 

 

 

PREMIERE ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus Christ, douceur éternelle à ceux qui vous aiment, joie qui surpasse toute joie et tout désir, espoir et salut des pécheurs, qui avez témoigné n’avoir de plus grand contentement que d’être parmi les hommes jusqu’à prendre la nature humaine en la plénitude des temps pour l’amour d’eux, souvenez-vous des souffrances que vous avez endurées dès l’instant de votre conception et surtout dans le temps de votre Sainte Passion, ainsi qu’il avait été décrété et ordonné de toute éternité dans la pensée divine. Souvenez-vous, Seigneur, que faisant la Cène avec vos disciples, après leur avoir lavé les pieds, vous leur avez donné votre Corps sacré et votre Précieux Sang, et, tout en les consolant avec douceur, vous leur avez prédit votre prochaine Passion. Souvenez-vous de la tristesse et de l’amertume que vous avez éprouvées en votre âme, comme vous l’avez témoigné vous-même, disant : « Mon âme est triste jusqu’à la mort ».

Souvenez-vous, Seigneur, des craintes, angoisses et douleurs que vous avez endurées en votre Corps suave avant le supplice de la Croix, quand, après avoir prié trois fois en répandant une sueur de sang, vous avez été trahi par Judas, votre disciple, arrêté par la nation que vous aviez choisie et élevée, accusé par de faux témoins, injustement jugé, en la fleur de votre jeunesse et dans le temps solennel de la Pâque. Souvenez-vous que vous avez été dépouillé de vos propres vêtements et revêtu de ceux de la dérision, qu’on vous a voilé les yeux et la face, qu’on vous a donné des soufflets, que vous avez été couronné d’épines, qu’on vous a mis un roseau à la main, et qu’attaché à une colonne, vous avez été déchiré de coups et accablé d’affronts et d’outrages. En mémoire de ces peines et douleurs que vous avez endurées avant votre Passion sur la Croix, donnez-moi avant la mort une vraie contrition, une sincère et entière confession, une juste pénitence et la rémission de tous mes péchés. Ainsi soit-il.

 

 

 

DEUXIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus, vraie liberté des Anges, paradis de délices, ayez mémoire de l’horreur de tristesse que vous avez endurée lorsque vos ennemis, tels des lions furieux, vous entourèrent, et par mille injures, crachats, soufflets, griffures et autres supplices inouïs, vous tourmentèrent à l’envie. En considération de ces tourments et de ces paroles injurieuses, je vous supplie, ô mon Sauveur, de me délivrer de mes ennemis, visibles et invisibles, et de me faire arriver, sous votre protection, à la perfection du salut éternel. Ainsi soit-il.

 

TROISIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Créateur du Ciel et de la Terre, que nulle chose ne peut contenir ni limiter, vous qui renfermez et tenez tout sous votre puissance, souvenez-vous de la douleur très amère que vous avez endurée lorsque les soldats, attachant vos mains sacrées et vos pieds très délicats à la Croix, les percèrent de part en part avec de gros clous émoussés et, ne vous trouvant pas dans l’état qu’ils voulaient pour contenter leur rage, agrandirent vos plaies, y ajoutèrent douleur sur douleur puis, par une cruauté inouïe, vous allongèrent alors sur la Croix et vous tirèrent de tous côtés en disloquant vos membres. Je vous conjure, par la mémoire de cette très Sainte et très aimante douleur de la Croix, de me donner crainte et amour envers vous. Ainsi soit-il.

 

QUATRIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Céleste médecin, élevé en Croix pour guérir nos plaies par les vôtres, souvenez-vous des langueurs et meurtrissures que vous avez souffertes en tous vos membres, dont aucun ne demeura en sa place, en sorte qu’il n’y avait douleur semblable à la vôtre. De la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête, aucune partie de votre Corps n’était sans tourment ; et cependant, oubliant vos souffrances, vous ne vous êtes point lassé de prier votre Père pour vos ennemis, lui disant : «  Père, pardonne-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font. » Par cette grande miséricorde et en mémoire de cette douleur, faites que le souvenir de votre très amère Passion opère en moi une parfaite contrition et la rémission de tous mes péchés. Ainsi soit-il.

 

CINQUIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Miroir de splendeur éternelle, souvenez-vous de la tristesse que vous avez eue, lorsque, contemplant dans la lumière de votre divinité la prédestination de ceux qui devaient être sauvés par les mérites de votre Sainte Passion, vous voyiez en même temps la multitude des réprouvés qui devaient être damnés par leurs péchés, et vous plaigniez amèrement ces malheureux pécheurs perdus et désespérés. Par cet abîme de compassion et de pitié, et principalement par la bonté que vous avez manifestée envers le bon larron, lui disant : « Tu seras aujourd’hui avec moi en Paradis », je vous prie, ô doux Jésus, qu’à l’heure de ma mort, vous me fassiez miséricorde. Ainsi soit-il.

 

SIXIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Roi aimable et si désirable, souvenez-vous de la douleur que vous avez eue, quand, nu et comme un misérable, attaché et élevé sur la Croix, tous vos parents et vos amis vous abandonnèrent, excepté votre Mère bien-aimée qui demeura, en compagnie de Saint Jean, très fidèlement auprès de vous dans l’agonie et que vous avez recommandés l’un à l’autre en disant : « Femme, voila ton Fils ! » et à Saint Jean :  « Voila ta Mère ! » Je vous supplie, ô mon Sauveur par le glaive de douleur qui alors transperça l’âme de votre Sainte Mère, d’avoir compassion de moi en toutes mes afflictions et tribulations, tant corporelles que spirituelles, et de m’assister dans mes épreuves, surtout à l’heure de la mort. Ainsi soit-il.

SEPTIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Fontaine inépuisable de compassion qui par une profonde affection d’amour avez dit sur la Croix : « J’ai soif ! » mais de la soif du salut du genre humain, je vous prie, ô mon Sauveur, d’exalter le désir de mon cœur de tendre à la perfection dans toutes mes œuvres, et d’éteindre entièrement en moi la concupiscence charnelle et l’ardeur des appétits mondains. Ainsi soit-il.

 

HUITIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Douceur des cœurs, suavité des esprits, par l’amertume du fiel et du vinaigre que vous avez goûtés sur la Croix pour l’amour de nous, accordez-moi de recevoir dignement votre Corps et votre Sang précieux pendant la vie et à l’heure de la mort, pour servir de remède et de consolation à mon âme. Ainsi soit-il.

 

NEUVIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Vertu royale, joie de l’esprit, souvenez-vous de la douleur que vous avez endurée, lorsque, plongé dans l’amertume à l’approche de la mort, insulté et outragé par les hommes, vous avez crié avoir été abandonné de votre Père, lui disant : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Par cette angoisse, je vous conjure, ô mon Sauveur, ne m’abandonnez pas dans les terreurs et les douleurs de la mort. Ainsi soit-il.

 

DIXIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Qui êtes en toutes choses commencement et fin, vie et vertu, souvenez-vous que vous vous êtes plongé pour nous dans un abîme de douleurs, de la plante des pieds jusqu’au sommet de la tête. En considération de la grandeur de vos plaies, apprenez-moi à garder vos commandements par une vraie charité, ces commandements dont la voie est large et aisée par ceux qui vous aiment. Ainsi soit-il.

 

ONZIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Abîme très profond de miséricorde, je vous supplie, en mémoire de vos plaies qui ont pénétré jusqu’à la moelle de vos os et de vos entrailles, de me tirer, moi, misérable submergé par mes offenses, hors du péché, et de me cacher de votre face irritée dans les trous de vos plaies, jusqu’à ce que votre colère et votre juste indignation soient passées. Ainsi soit-il.

 

DOUZIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Miroir de vérité, marque d’unité, lien de charité, souvenez-vous de la multitude de plaies dont vous avez été blessé de la tête aux pieds, déchiré et tout rougi par l’effusion de votre Sang adorable ! O grande et universelle douleur que vous avez soufferte pour l’amour de nous en votre chair virginale ! Très doux Jésus, qu’auriez-vous pu faire pour nous que vous n’ayez fait ! Je vous conjure, ô mon Sauveur, de marquer de votre Précieux Sang toutes vos plaies dans mon cœur afin que j’y lise sans cesse vos douleurs et votre amour. Que par le fidèle souvenir de votre passion, le fruit de vos souffrances soit renouvelé dans mon âme, et que votre amour s’y augmente chaque jour, jusqu’à ce que je parvienne à vous qui êtes le trésor de tous les biens et de toutes les joies, que je vous supplie de me donner, ô très doux Jésus, dans la vie éternelle. Ainsi soit-il.

 

TREIZIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus ! Lion de Juda, Roi immortel et invincible, ayez mémoire de la douleur que vous avez endurée, lorsque toutes vos forces, tant du cœur que du corps, étant épuisées, vous avez incliné la tête en disant : « Tout est consommé ! » Par cette angoisse et cette douleur, je vous supplie, Seigneur Jésus, d’avoir pitié de moi en la dernière heure de ma vie, lorsque mon âme sera dans l’angoisse et que mon esprit sera troublé.

 

QUATORZIEME ORAISON

PATER, AVE

O Jésus, Fils unique du Père, Splendeur et figure de sa substance, souvenez-vous de l’humble recommandation que vous avez faite à votre Père, lui disant : « Mon Père, je remets mon esprit entre tes mains ! » Puis, votre corps déchiré, votre cœur brisé et les entrailles de votre miséricorde ouvertes pour nous racheter, vous avez expiré ! Par cette précieuse mort, je vous conjure, ô Roi des Saints, de me réconforter et de me secourir pour résister au démon, à la chair et au sang, afin qu’étant mort(e) au monde, je vive en vous seul. Recevez, je vous prie, à l’heure de ma mort, mon âme pèlerine et exilée qui retourne à vous. Ainsi soit-il.

 

 

QUINZIEME ORAISON

PATER, AVE

 

O Jésus, vraie et féconde vigne, souvenez-vous de l’abondante effusion de San que vous avez si généreusement répandue de votre Corps sacré comme le raisin sous le pressoir. De votre côté perforé d’un coup de lance par un soldat, vous avez donné du sang et de l’eau, de telle sorte qu’il n’en est plus demeuré une seule goutte, et enfin, comme un faisceau de myrrhe élevé du haut de la Croix, votre chair délicate s’est anéantie, l’humeur de vos entrailles s’est tarie, la moelle de vos os s’est desséchée. Par cette amère Passion et par l’effusion de votre précieux Sang, je vous supplie, ô bon Jésus, de recevoir mon âme lorsque je serai à l’agonie. Ainsi soit-il.

 

PRIERE FINALE

 

O doux Jésus ! Blessez mon cœur afin que des larmes de pénitence, de douleur et d’amour, nuit et jour, me servent de pain ; convertissez-moi entièrement à vous ; que mon cœur vous soit une perpétuelle habitation ; que ma conduite vous soit agréable, et que la fin de ma vie vous soit tellement louable qu’après ma mort, je puisse mériter votre Paradis et vous louer à jamais avec tous vos Saints. Ainsi soit-il.

 

Récitation des oraisons :

 

·         Demande : « faut-il les réciter tous les jours sans interruption » ?

·         Réponse : « manquer le moins possible mais si pour un motif sérieux, on les omet, on ne perd pas les privilèges qui y sont attachés, pourvu qu’on les récite 365 fois dans l’année. Il faut les dire dévotement et bien se pénétrer des paroles qu’on prononce. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1 juin 2011

CHAPELET DES SEPT DOULEURS DE MARIE

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CHAPELET

DES SEPT DOULEURS DE MARIE

 

Ce chapelet comprend sept septaines dont chacune comprend 1 PATER et 7 AVE qu’on récite en méditant chacune des 7 douleurs de Marie.

·        A la place du Gloire au Père :

« Mère comblée de miséricorde, garde présentes à notre cœur, les souffrances de la Passion de ton Fils Jésus. »

 

ENONCE DES 7 DOULEURS :

 

1.  La prophétie du Saint vieillard Syméon :

« Vois ! Cet enfant (…) doit être un signe en butte à la contradiction et toi-même, un glaive te transpercera l’âme ! » (Lc, 2, 34-35)

 

2.    La fuite en Egypte :

L’Ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit :

« Lève-toi, prends l’enfant et sa mère et fuis en Egypte. » (Mt 2,13)

 

3.  La perte de Jésus au Temple :

 « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois ! Ton père et moi, nous te cherchons, angoissés. » (Lc 2, 48)

 

4.  La rencontre de Jésus portant sa Croix :

« Et ils amènent Jésus au lieu dit Golgotha… » (Jn, 15, 22)

 

5.  Le crucifiement et la mort de Jésus :

« Près de la Croix de Jésus, se tenait, debout, sa Mère… » (Jn 19, 25)

 

6.  Le coup de lance et la descente de la Croix : 

« L’un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et aussitôt, il en sortit du Sang et de l’Eau (…) Joseph d’Arimathie, (…) demanda à Pilate l’autorisation d’enlever le Corps de Jésus. » (Jn 19, 34,38)

 

7.  La sépulture de Jésus :

« À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et dans ce jardin, un tombeau neuf (…) c’est là qu’ils déposèrent Jésus. » (Jn, 19, 41, 42)

 

A  la fin, on ajoute 3 PATER et 3 AVE.

 

Ce chapelet a été expressément demandé par la Très Sainte Vierge Marie à Kibeho lors des apparitions de 1981.

 

ORIGINE DU CHAPELET DES SEPT DOULEURS

Ce chapelet a été institué par les sept bienheureux Fondateurs de l’Ordre des Serviteurs de Marie. En 1229, le soir du Vendredi Saint, la Vierge leur était apparue, leur demandant de fonder un nouvel ordre religieux particulièrement destiné à honorer ses douleurs.

 

1 juin 2011

LES SEPT PATER NOSTER

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LES SEPT PATER NOSTER

 

Le Divin Sauveur révéla à Sainte Brigitte la promesse suivante :

« Sachez que j’accorderai à ceux qui réciteront journellement pendant douze ans 7 PATER et AVE en l’honneur de mon Précieux Sang, les cinq grâces suivantes :

1.    Elles n’iront pas au purgatoire.

2.   Je les compterai au nombre des martyrs comme si elles avaient versé leur sang pour la foi.

3.   Je conserverai en grâce trois membres de leur famille, suivant leur choix.

4.   Les membres de leurs familles, jusqu’à la 4ème génération, seront préservées de l’enfer.

5.   Elles seront averties de leur mort un mois avant.

Si elles mouraient avant cette période de 12 ans, je les considèrerais comme si elles avaient rempli ces conditions. »

On peut facilement lier à cette prière la dévotion et l’offrande des Saintes Plaies de Notre Seigneur car, de ces plaies a jailli le Précieux Sang.

Le Sauveur recommanda cet exercice à Sœur Marie-Marthe Chambon et lui fit, à cet égard, de grandes promesses.

 

Il est recommandé d’ajouter aux 7 PATER NOSTER

Les prières suivantes :

 

PRIERE

O Jésus, je vais maintenant réciter sept fois le Pater Noster en souvenir du même amour par lequel cette prière a sanctifié  et adouci votre Cœur. Prenez-la, de mes lèvres, en votre Divin Cœur. Corrigez-la et perfectionnez-la afin qu’elle apporte autant d’honneur et de joie en la Sainte Trinité que vous nous en avez démontrés sur la terre. Cette supplique voudrait submerger votre Sainte Humanité pour glorifier vos Saintes Plaies et le Précieux Sang qui s’en est écoulé.

 

1.   CIRCONCISION :

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre les premières plaies, les premières douleurs et la première effusion du sang versé par Jésus pour expier les péchés de l’homme, de la jeunesse, les miens, et pour le renoncement aux premiers péchés mortels, surtout dans ma parenté.

2.   SUEUR DE SANG :

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre les douleurs atroces du Cœur de Jésus au jardin des Oliviers et chaque goutte de sa sueur de sang pour expier tous les péchés de cœur, les miens, pour le renoncement à de tels péchés et pour l’accroissement de l’amour de Dieu et du prochain.

3.   FLAGELLATION :

 

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre les milliers de plaies, les douleurs cruelles et le Précieux Sang de Jésus lors de sa flagellation, pour tous les péchés de la chair, les miens, pour le renoncement à de tels péchés et pour la conservation de l’innocence, en particulier dans ma parenté.

4.   COURONNEMENT D’EPINES :

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre les plaies, les douleurs et le Précieux Sang du Chef Sacré de Jésus lors de son couronnement d’épines, pour expier tous les péchés d’esprit de l’homme, les miens, pour le renoncement à de tels péchés et pour l’extension du Règne du Christ sur la terre.

5.   PORTEMENT DE CROIX :

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre les douleurs de Jésus sur le chemin du Calvaire, surtout sa Sainte Plaie de l’épaule, son Précieux Sang, pour alléger le poids de la Croix, mes murmures contre les Saintes ordonnances, tous les péchés commis, pour le renoncement à de tels péchés et pour un véritable amour pour la Sainte Croix.

6.   CRUCIFIXION :

PATER, AVE

Père Eternel, par les mains immaculées de Marie et le Divin Cœur de Jésus, je vous offre votre Divin Fils, cloué et élevé sur la Croix, ses plaies aux mains et aux pieds et les trois filets de son Précieux Sang versé pour nous, son extrême pauvreté, son obéissance parfaite, toutes les affres de son corps et de son âme, sa précieuse mort et son mémorial non sanglant dans toutes les Saintes Messes de la terre, pour expier toutes les atteintes aux vœux et aux Saintes institutions, en réparation de mes péchés et ceux du monde entier, pour les malades et les mourants, pour obtenir de Saints prêtres et laïcs, aux intentions du Saint Père, pour la restauration de la famille chrétienne, pour fortifier et encourager la foi, pour notre patrie, pour l’unité des peuples dans le Christ et son Eglise ainsi que tous les pays où les chrétiens sont en minorité.

7.   PORTEMENT DE CROIX :

PATER, AVE

Père Eternel, acceptez, pour le besoin de la Sainte Eglise et en expiation des péchés des hommes, ces précieux dons, Eau et Sang, jaillis de la Plaie du divin Cœur de Jésus.

 Sang du Christ, dernier contenu de votre Sacré Cœur, lave-moi et purifie-moi de tous mes péchés coupables. »

 Eau du côté du Christ, lave-moi et purifie-moi de mes premiers péchés et sauve-moi ainsi que toutes les pauvres âmes, des flammes du Purgatoire. »

 

TERMINER PAR LE SALVE REGINA

1 juin 2011

SAINTE BRIGITTE

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SAINTE BRIGITTE

 

Elle naquit en 1303 de famille royale de Suède.  Ses parents vivaient intensément leur foi. Son père, Brigère, fit le pèlerinage à Compostelle et se confessait tous les vendredis. Sa mère, Sigride, fit construire plusieurs églises et les entretenait elle-même. Elle mourut jeune.

A la naissance de Brigitte « feu qui rayonne », un saint prêtre qui par la suite devint évêque, vit dans la nuit une grande clarté et une vierge assise sur les nues, elle avait un livre à la main et une voix disait :

-    Il est né une fille à Brigère dont la voix admirable retentira par le monde entier.

A 7 ans, Brigitte vit apparaître la Sainte Vierge qui lui présenta une magnifique couronne. Dès lors, l’enfant prit la résolution de tout faire par amour de Jésus pour la mériter.

A 11 ans, Notre Seigneur lui apparut couvert de sang et de plaies toutes fraîches… Pleurant de compassion, elle lui dit :

-  O Jésus, qui vous a  fait autant de mal ? 

-    Ce sont ceux qui me rejettent et méprisent mon amour, répondit-il.

Dès lors, Brigitte cherchait par tous les moyens à le consoler et se levait la nuit, même par grand froid, disant :

-    C’est l’amour de Dieu qui me réchauffe.

Lorsqu’elle eut 13 ans, son père l’accorda en mariage (c’était la coutume) au prince Ulf de Mérici qui n’en avait que 18 ! Ils eurent 4 garçons et 4 filles qu’ils élevèrent dans une grande sainteté. Ils jeûnaient souvent au pain et à l’eau et fondèrent un hôpital où ils soignaient eux-mêmes les malades.

Tellement épris de l’amour de Dieu, ils décidèrent d’entrer en religion, après avoir partagé leurs biens entre leurs enfants.

En 1344, à la mort de son mari, Sainte Brigitte reçut du roi de Suède un terrain sur lequel elle édifia un monastère, y instituant l’Ordre du Saint Sauveur. Elle désirait œuvrer par ce moyen pour la réforme de l’Eglise de Suède qui s’était séparée de la papauté.

C’est dès son arrivée à Rome en 1349, appelée par Jésus, que Sainte Brigitte reçut beaucoup de révélations. Notre Seigneur l’envoya ensuite en pèlerinage à Jérusalem où il l’éclaira sur sa Naissance, sa Vie et sa Douloureuse Passion, la Sainte Famille, la Sainte Vierge et l’Eglise naissante.

De retour à Rome, Jésus lui apparut pour lui annoncer le jour et l’heure de sa mort (23/07/1373).

Devant tous les miracles obtenus par son intercession, le pape Boniface IX la canonisa le 13 octobre 1391.

Son corps fut ramené en Suède au couvent de Vodsténa qu’elle avait fondé et où sa fille, la future Sainte Catherine de Suède venait d’être élue supérieure.

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