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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
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NOTRE DAME MIRACULEUSE DES ROSES ET MAMMA ROSA
9 septembre 2013

EVANGILE SELON SAINT JEAN

EVANGILE SELON SAINT JEAN - 3 -

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« L’œuvre de Dieu qu’il faut que vous fassiez, leur répondit Jésus, est de croire en Celui que Dieu a envoyé. » « Quelle œuvre significative, as-tu toi, à nous montrer  pour que nous croyions en toi ? Quelle œuvre fais-tu ? Nos pères, à nous, ont mangé la manne dans le désert : comme le dit l’Ecriture, (Moise) leur a envoyé du Ciel un pain à manger. » « En vérité, en vérité, je vous le dis, répondit Jésus, Moise ne vous a pas donné le pain qui vient du Ciel ; mais, aujourd’hui, mon Père vous donne le vrai pain qui vient du Ciel. Car le pain de Dieu est celui qui descend (vraiment) du ciel et donne la vie au monde. »  « Seigneur, lui dirent-ils, en tous temps, donne-nous ce pain. » « C’est Moi, leur dit Jésus, qui suis le pain de la vraie vie : celui qui vient à moi n’aura pas faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. Mais, je vous l’ai dit, vous m’avez vu et vous ne croyez point. Tous ceux que mon Père me donne, c’est moi qu’ils viendront trouver, et tous ceux qui viendront me trouver, ce n’est pas moi qui les abandonnerai ; car je ne suis pas descendu du Ciel pour faire ma volonté, mais pour faire la volonté de Celui qui m’a envoyé ; or la volonté de Celui qui m’a envoyé est que je ne laisse rien périr de ce qu’il m’a donné, et que, le dernier jour, je les rende à la vraie vie. Car c’est la volonté de mon Père que tous ceux qui voient le Fils et croient en lui, aient la vie éternelle, et que moi, je les ressuscite au dernier jour. » Les Juifs se mirent à murmurer contre lui parce qu’il avait dit : C’est moi qui suis le vrai pain qui est descendu du Ciel. « N’est-ce pas là Jésus, disaient-ils, le fils de Joseph, et dont, nous autres, nous connaissons bien le père et la mère ? Comment maintenant peut-il dire : Je suis descendu du Ciel ? » « Ne murmurez pas entre vous, leur dit Jésus. Nul ne peut venir à moi s’il n’y est attiré par le Père qui m’a envoyé, et c’est moi qui le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les Prophètes : Dieu instruira tous les hommes. Et tous ceux qui ont entendu le Père et retenu son enseignement viennent à moi. Ce n’est pas que quelqu’un ait vu le Père ; excepté celui qui vient de Dieu : celui-là a vu le Père. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit tient la vie éternelle. C’est moi qui suis le pain de la vie (éternelle). Vos pères à vous ont mangé dans le désert la manne, et sont morts. Voici le pain qui descend du ciel, et dont moi je dis que ceux qui en mangeront ne mourront pas. C’est moi qui suis le pain vivant  qui est descendu du ciel : celui qui mangera de ce pain vivra éternellement, et le pain que, moi, je donnerai, c’est ma chair (livrée) pour la vie du monde. » Là-dessus, les Juifs se mirent à discuter entre eux : « Comment, disaient-ils, cet homme, peut-il nous donner sa chair à manger ? » « En vérité, en vérité, je vous le dis, répondit Jésus, si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son Sang, vous n’avez pas de vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang tient la vie éternelle, et c’est moi qui le ressusciterai au dernier jour ; car ma chair est une véritable nourriture et mon sang un véritable breuvage. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui. De même que mon Père, qui est (toute) vie, m’a envoyé, et que je ne vis que par mon Père, de même celui qui me mange vivra par moi. Voici le pain qui est descendu du ciel, non pas comme celui qu’ont mangé vos pères et qui ne les a pas empêchés de mourir : celui qui mangera de ce pain vivra éternellement. » Ce fut là l’enseignement que Jésus donna en synagogue, à Capharnaüm. Après l’avoir entendu, plusieurs de ses disciples dirent entre eux : « Voilà qui est dur à accepter ! Qui peut seulement l’écouter ? » Jésus, connaissant par sa science intérieure que ses disciples murmuraient à ce sujet, ajouta : « Ce que j’ai dit vous offusque ? Que direz-vous quand vous verrez le Fils de l’homme remonter au lieu d’où il était descendu ? C’est l’esprit qui donne la vie, la chair (toute seule) ne sert à rien ; ce que je vous ai dit est esprit et vie. Mais il y en a, parmi vous, quelques uns qui ne croient pas (car Jésus savait, dès le début, quels étaient ceux qui ne croyaient pas et quel était celui qui le trahirait). Voilà pourquoi, ajouta t-il, je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si cela ne lui a pas été donné par le Père. » C’est à la suite de ce discours que beaucoup de ses disciples reculèrent et qu’ils cessèrent de le suivre ; et Jésus dit aux Douze : « Vous aussi, est-ce que vous voulez vous en aller ? » « Seigneur, lui répondit Simon Pierre, à qui irions-nous ? Tu détiens les paroles de la vie éternelle ; et nous autres, nous croyons et nous savons que Tu es le Saint de Dieu. » « C’est moi, leur dit Jésus, qui vous ai choisis (tous) les douze, n’est-ce pas ? Et pourtant, parmi vous, il y en a un qui est un démon. » Il voulait parler de Judas, fils de Simon, de la ville de Kérioth, l’un des Douze (en effet), et qui devait le livrer.

 Jésus se mit ensuite à parcourir la Galilée ; il ne voulait pas circuler en Judée car les Juifs cherchaient à le faire mourir. La fête des Juifs (dite) de la scénopégie était proche. Ses frères lui dirent donc : « Ne reste pas dans ce pays : va en Judée, pour que tes disciples (de là-bas), eux aussi, voient les œuvres que tu fais, car on ne fait rien dans l’ombre quand on veut paraître au grand jour. Puisque tu accomplis ces miracles, manifeste-toi au monde (car ses frères eux-mêmes ne croyaient pas en lui). « Mon heure à moi, leur dit Jésus, n’est pas encore venue, mais votre heure à vous est là, (et elle vous attend) toujours. Vous autres, le monde ne peut pas vous haïr ; mais moi, il me hait parce que, moi, je témoigne contre lui, que ses œuvres sont mauvaises. Vous autres, montez à la fête. Pour le moment, moi, je n’y monte pas ; mon heure n’est pas encore venue. » Et, après leur avoir parlé ainsi, il resta en Galilée. Mais quand ses frères furent montés à la fête, il y monta lui aussi à son tour, non pas ostensiblement, mais sans se faire connaître. C’est pourquoi au milieu de la fête, les Juifs le cherchaient (partout) : « Où est-il donc ? » disaient-ils. Et tout le monde, tout bas, parlaient de lui : « C’est un homme de bien », disaient les uns. « Pas du tout, répondaient les autres, c’est un imposteur qui séduit la foule. » Mais, par crainte des Juifs, personne n’osait parler de lui ouvertement. On était déjà au milieu de la fête, quand Jésus, un jour de sabbat, monta au temple pour y enseigner. Et les Juifs se demandaient avec étonnement : « Comment se fait-il qu’il ait tant de connaissances sans avoir suivi nos leçons ? » « Mon instruction, leur dit Jésus, ne vient pas de moi, mais de Celui qui m’a envoyé ; et, si quelqu’un veut (également) faire la volonté de Dieu, il saura reconnaître si ma doctrine vient de Dieu, ou si ma doctrine est personnelle. C’est celui parle de son propre fonds qui recherche sa propre gloire. Mais celui qui recherche la gloire de Celui qui l’a envoyé, celui-là parle au nom de la vérité, celui-là n’est pas un imposteur. Moise ne vous a-t-il pas donné la Loi ? Et pourtant, aucun d’entre vous ne pratique la Loi : (en effet), pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ? » « Tu es possédé du démon, lui répondit la foule. Qui est-ce qui cherche à te faire mourir ? » « J’ai fait, répondit Jésus (s’adressant aux Chefs des Juifs), j’ai fait une guérison (le jour du Sabbat), et vous en avez été surpris. C’est Moise qui vous a prescrit la circoncision (en réalité, la circoncision ne date pas de Moise mais des Patriarches), et pourtant vous n’hésitez pas à la pratiquer sur un homme, (même) un jour de Sabbat. Si, pour ne pas manquer à la Loi de Moise, vous n’hésitez pas à pratiquer, le jour même du Sabbat, sur un homme, une opération (insignifiante), allez-vous entrer en fureur contre moi parce que, le jour du Sabbat, je rends à un homme, la santé de son corps tout entier ? Ne jugez pas d’après les conventions, jugez d’après le fond des choses. » Quelques habitants de Jérusalem se mirent alors à dire entre eux : « N’est-ce pas là celui qu’on cherche à faire mourir ? Voici qu’il parle ouvertement et on ne lui dit rien ; Est-ce que vraiment, par hasard, les Chefs auraient reconnu que c’est là le Christ ? Pourtant, celui-ci, nous savons d’où il vient ; tandis que le Christ, quand il viendra, personne ne pourra dire d’où il vient. » Et Jésus, qui continuait à enseigner dans le Temple, s’écria : « Mais si ! Vous me connaissez ! Et vous savez (parfaitement) d’où je viens ! Je ne suis pas venu de moi-même. Il y en a vraiment un qui m’a envoyé. Et c’est celui-là que vous ne connaissez pas. Mais moi je le connais, car je viens de lui, et c’est lui qui m’a envoyé. » Ils essayèrent alors de s’emparer de lui, mais personne ne put mettre la main sur lui, car son heure n’était pas encore venue. Néanmoins, parmi la foule, beaucoup crurent en lui. « Quand le Christ viendra, disaient-ils, pourra t-il faire plus de prodiges que n’en accomplit celui-ci ? » Quand les Pharisiens apprirent que la foule parlait ainsi à son sujet, ils envoyèrent, de concert avec les Grands Prêtres, leur police pour l’arrêter : « Je ne suis plus avec vous que pour bien peu de temps avant de retourner auprès de Celui qui m’a envoyé. (Un moment viendra où) vous me chercherez sans pouvoir me trouver, car, là où je demeure, vous ne pouvez pas venir. » Les Juifs se dirent alors entre eux : « Où doit-il aller pour que nous ne le trouvions pas ? Va-t-il parcourir le Diaspore (des Juifs), et enseigner (à leur tour) les Gentils ? Que signifie ce qu’il vient de dire : Vous me chercherez sans pouvoir me trouver : là où je demeure, vous ne pourrez pas venir ? »

 

Le dernier jour de la fête, qui était aussi le plus solennel, Jésus parla debout. « Si quelqu’un a soif, s’écria t-il, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Si quelqu’un croit en moi, des fleuves d’eau vive, dit l’Ecriture, couleront (aussi) de son sein. »

Il parlait là de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; mais il n’y avait pas encore eu d’envoi de l’Esprit, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié. Quelques-uns de ceux qui, dans la foule, avaient entendu ces paroles, se mirent à dire : « c’est vraiment là le Prophète. » D’autres disaient : « C’est le Christ. » Mais d’autres répliquaient : « Est-ce que le Christ peut venir de Galilée ? L’Ecriture ne dit-elle pas que le Christ doit descendre de David et qu’il doit naître à Bethléem, la localité où David est né lui-même ? » La foule était donc très partagée à son sujet. Il y en avait quelques-uns, dans cette foule, qui voulaient s’emparer de lui, mais personne ne mit sur lui la main. Les policiers revinrent donc auprès des Grands Prêtres et des Pharisiens qui leur demandèrent : « Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ? » « Jamais, leur répondirent les policiers, personne n’a parlé comme cet homme. » « Est-ce que par hasard, s’écrièrent les Pharisiens, vous aussi, vous vous seriez laissés séduire ? Est-ce que vous avez vu un des Chefs (du peuple) ou des Pharisiens croire en lui ? Quand à cette tourbe, qui ne connaît pas la Loi, c’est une foule maudite ! » C’est alors que Nicodème, celui-là même qui, bien qu’appartenant à leur caste, était venu, au commencement, trouver Jésus, leur dit à tous : « Est-ce que notre Loi peut condamner quelqu’un avant de l’avoir entendu et d’avoir su ce qu’il a fait ? » « Mais sortirais-tu, toi aussi, de la Galilée ? Examine, et constate qu’il ne sort pas de Prophète de la Galilée. » Et chacun se retira ensuite chez soi. 

 

Quant à Jésus, il se rendit au Mont des Oliviers. Au point du jour, il retourna au Temple. Tout le peuple vint aussitôt le trouver. Il s’assit, et se mit à les enseigner tous. Et voilà que tout à coup, les Docteurs de la Loi et les Pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère, et, la plaçant au milieu des assistants : « Maître, dirent-ils à Jésus, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Dans la Loi, Moise nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi, qu’en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi afin de le sonder et pour trouver contre lui un chef d’accusation. Mais Jésus, se penchant, se mit à écrire avec son doigt sur la terre. Et, comme ils insistaient sur leur interrogation, il se releva et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché soit le premier à lui jeter une pierre. » Puis, se penchant de nouveau, il recommença à écrire sur la terre. En entendant ces paroles, ils se mirent à sortir, un par un, en commençant par les plus âgés, laissant Jésus seul, avec la femme toujours au milieu : « Femme, dit Jésus en se relevant, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? » « Personne, Seigneur. » « Moi non plus, dit Jésus, je ne te condamne pas. Retire-toi ; mais, désormais, ne pèche plus. »

Jésus dit encore aux Juifs : « Je suis la lumière du monde. Celui qui m’accompagne ne marche pas dans les ténèbres, mais il possèdera la lumière de la vie. » « C’est toi-même, lui dirent les Pharisiens, qui rends témoignage sur toi : ton témoignage n’est pas valable. » « Quand bien même ce serait moi qui rendrais sur moi témoignage, répondit Jésus, mon témoignage serait valable, car je sais, moi, d’où je suis venu et où je retourne, tandis que vous autres, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je retourne. Vous autres, vous jugez d’après la chair (que vous voyez) ; moi, (pour le moment), je ne juge personne, mais, s’il m’arrivait de juger, mon jugement serait valable ; parce que je ne suis pas seul : il y a moi, et le Père qui m’a envoyé. Or, dans votre Loi, il est écrit qu’un témoignage est valable avec deux témoins. Or, il y a moi qui rends témoignage sur moi-même, et il y a aussi le Père qui m’a envoyé et qui rend témoignage sur moi. » « Où est ton père » ? lui dirent-ils. « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père, répondit Jésus. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »

C’est dans la salle du trésor qu’il leur parlait ainsi  ce jour-là où il enseignait dans le Temple. Et personne ne put encore s’emparer de lui, parce que son heure n’était pas venue.

Il leur dit encore : « Pour moi, je m’en retourne. Et (bientôt) vous me chercherez, et c’est dans votre péché que vous mourrez : car, là où, moi je vais, vous autres, vous ne pouvez pas venir. » Les Juifs se mirent à dire entre eux : « Est-ce qu’il va se tuer pour dire : là où, moi je vais, vous autres, vous ne pouvez pas venir ? » « Vous autres, leur dit Jésus, vous êtes d’en bas ; pour moi, je suis d’en haut. Vous autres, vous appartenez à ce monde ; pour moi, je n’appartiens pas à ce monde. Je viens de vous dire que c’est dans vos péchés que vous mourrez : c’est parce que vous ne croyez pas que c’est moi qui suis, que vous mourrez dans vos péchés. » Ils se mirent donc à lui dire : « Toi, qui es-tu ? » « Vaut-il seulement la peine, dit Jésus, que je vous (en) parle ! C’est plutôt sur vous que j’aurais beaucoup à dire et beaucoup de jugements à prononcer. Mais Celui qui m’a envoyé a ses raisons. C’est ce qu’il m’a commandé que je dois enseigner au monde (les Juifs ne comprirent pas que, par là, il leur désignait son Père). Quand vous aurez dressé en l’air le Fils de l’homme, alors vous saurez que c’est moi qui suis, mais que je ne fais rien de moi-même, et que je n’enseigne que ce que mon Père m’a dit d’enseigner. Et Celui qui m’a envoyé est (toujours) avec moi : il ne m’a pas abandonné seul, car c’est ce qui lui plaît que je fais toujours. » En l’entendant parler ainsi, il y en eut beaucoup qui crurent en lui. Et Jésus dit à ceux qui se trouvèrent croire en lui : «  C’est en vivant de ma parole que vous êtes vraiment mes disciples. C’est alors que vous connaîtrez la vérité et que la vérité vous tirera de l’esclavage. » « Mais, lui dirent-ils, nous sommes les fils d’Abraham ! Et nous n’avons jamais été les esclaves de personne ! Comment peux-tu dire : « Vous deviendrez libres ? » « En vérité, en vérité, je vous le dis, répondit Jésus, tous ceux qui commettent le péché sont les esclaves du péché. Ce n’est pas l’esclave qui demeure pour toujours dans la maison, c’est le fils : si donc c’est le fils qui vous tire de l’esclavage, vous serez vraiment libres. Je sais bien que vous êtes les enfants d’Abraham, (ajouta Jésus pour les autres Juifs). Et pourtant, vous cherchez à me faire mourir, parce que (en réalité), vous ne voulez pas faire, en vous, place à ma parole. Et pourtant, je ne fais que dire ce que mon Père m’a commandé, comme vous-mêmes, vous faites ce que votre père vous commande. » « Notre père, répliquèrent-ils, c’est Abraham ! » « Si c’est Abraham qui est votre père, faites donc alors les œuvres d’Abraham.

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